1. Ma patronne quand je travaillais dans l'habillement (2)


    Datte: 31/03/2018, Catégories: Transexuels Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    ... ses ongles mais cela revenait au même cela laissait des traces mais surtout cela faisait mal; il n’y a pas à dire Patricia était une vraie féline au lit.
    
    Je la regardais pendant que je lui faisais l’amour, je la trouvais magnifique et surtout moins dure qu’elle ne l’est, quand nous sommes au travail. Elle avait une poitrine opulente, arrogante, ferme; bref qui appelle les caresses, malheureusement je ne pouvais pas trop m’attarder dessus car il fallait que je conserve un certain équilibre. Je la tenais par la taille ou plutôt par les hanches, comme vous le désirez et cela me faisait tout drôle de la tenir entre mes mains. Malgré son caractère bien trempé et son allure de femme dominatrice, elle paraissait si fragile à cet instant, pendant que j’étais en train de lui faire du bien. Maintenant elle me gratifiait de qualificatifs peu flatteurs mais extrêmement excitants pour moi, elle me traitait de travelo, de fiotte, d’étalon féminin, de petite pédale, de petite soumise, de bouffeuse de moules. En même temps ces petits surnoms n’étaient pas vraiment volés, mais je m’en fichais j’étais en train d’honorer ma patronne.
    
    Je n’avais strictement aucun moyen de pression sur elle, car je savais qu’elle était célibataire, peut-être à la recherche d’un homme. C’était plus fort que moi il fallait que j’aille l’embrasser pendant que j’étais en elle, d’autant que ses baisers étaient gourmands et baveux, tout comme j’aime.
    
    — Si tu baises comme ça avec ta femme, elle doit être ...
    ... très heureuse.
    
    — J’aimerais que nous puissions avoir de tels rapports plus souvent.
    
    — Nous n’allons pas pouvoir aller en formation toute les semaines, il va falloir trouver une solution.
    
    Patricia était en train de me dire qu’elle aimerait que nos rapports soient plus réguliers et moi cela ne m’arrangeait pas. De temps à autre, il lui arrivait de me prendre mes couilles pour me les presser dans sa main, sur le coup la douleur était horrible mais je commençais à y prendre goût. Je trouvais très agréable de sentir mon corps velu venir se coller au sien pendant que je l’embrassais, à chaque fois que je me relevais, je constatais qu’il y avait quelques poils à moi qui étaient restés collés sur sa peau si douce.
    
    Le petit conduit de son vagin était très agréable à pénétrer, je prenais vraiment beaucoup de plaisir à aller en elle, peut-être même trop car je n’étais pas vraiment sûr de tenir longtemps à ce rythme. Quand je la voyais ou je l’entendais soupirer, je me disais que elle aussi prenait du plaisir à ce que je lui faisais. Maintenant elle inspirait et expirait très fort et profondément, pour moi cela était les prémisses de la jouissance. En fait j’étais un peu déçu que la jouissance arrive des deux côtés car je serais resté des heures à la besogner ainsi. Ses très longs cheveux bruns légèrement ondulés, dissimulaient ses épaules ainsi qu’une bonne partie de l’oreiller sur lequel reposait sa tête. Je ne comprenais pas qu’une aussi belle femme soit célibataire, elle ...
«1234...8»