1. Ma patronne quand je travaillais dans l'habillement (2)


    Datte: 31/03/2018, Catégories: Transexuels Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    ... bonnes minutes, collée à moi, très amoureuse, très caressante; elle venait de changer du tout au tout en une nuit; je la sentais amoureuse et j’avais la sensation qu’elle avait perdu son côté autoritaire.
    
    Nous sommes ensuite partis nous préparer en prenant une douche bien méritée, moi je me suis changé pour me refaire homme tout en sachant que Patricia m’avait laissé mon plug à télécommande, mais surtout ma tenue féminine sous ma tenue de tous les jours. Tout comme le fait ma femme le reste de l’année, Patricia décidai tout pour moi avant d’aller travailler. Par contre elle était d’une douceur que je ne lui connaissais pas et cela me faisait littéralement craquer pour elle. Nous avons pris notre petit-déjeuner au mini restaurant de l’hôtel, nous nous comportions comme un couple l’aurait fait, heureusement que nous nous déplacions dans l’anonymat. Une fois le ventre plein, nous sommes remontés ranger nos affaires dans la chambre, on les laisser la car nous savions que nous revenions le soir même. Ma chef m’a fait grâce de partir en stage avec mon plug et nous sommes ensuite descendus prendre place dans la superbe berline Tchèque de Patricia.
    
    Une fois dans la voiture nous ne manquions pas de nous embrasser et de nous caresser, j’aurais voulu que la distance qui nous sépare du centre de formation soit tellement plus longue. Une fois arrivés sur place, Patricia m’a demandé que nous soyons discrets, histoire de ne pas attirer l’attention. À ma grande surprise ma chef s’est ...
    ... rattrapée par les SMS, c’est ainsi que j’ai commencé à en recevoir des hyper hot.
    
    — Ma petite salope j’ai envie que tu viennes me bouffer la moule.
    
    — J’ai envie de te pomper le dard et te débarrasser de ta semence pour très longtemps.
    
    — J’ai envie d’épuiser ma petite chienne de telle sorte à ce que sa femme ne puisse pas en profiter pendant plusieurs jours.
    
    — Je vais tellement dévergonder ma petite soumise qu’elle ne pourra plus se passer de moi.
    
    Il n’y a pas à dire Patricia était chaude et elle avait une grosse envie de moi, pourtant je m’étais occupé d’elle hier soir.
    
    À l’heure de la pause nous sommes restés dans le centre de formation où nous nous sommes retrouvés tout seuls, nous nous sommes fait livrer des Pizzas. Nous avions une heure et demie pour manger mais l’opération était réglée en trente minutes. Nous sommes ensuite retournés dans la salle où nous avons fermé les rideaux à lamelles de telle façon à ce que nous soyons dans une totale intimité. Patricia s’est assise sur une table et m’a invité à venir m’agenouiller entre ses jambes, ensuite je me suis glissé sous sa longue robe. C’est avec plaisir et empressement que je suis venu prendre place là où elle me l’avait demandé, en plus de ma tête, j’ai glissé mes mains pour la défaire de sa culotte. Cette dernière était trempée, elle sentait bon, elle sentait fort, il y avait même des petits dépôts de cyprine à l’intérieur, on voyait les auréoles des deux cotés. J’étais tellement chaud et excité que je ...
«12...456...»