COLLECTION ZONE ROUGE. Mes origines allemandes. Saison II (8/10)
Datte: 15/03/2020,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... !
Dans la nuit j’avais vu la chaude du cul qu’elle était, j’ai supputé qu’elle voulait se faire les trois bites dès notre départ.
Seule Ingrid, nous a fait non de la tête et de nouveau avec son couteau, dans son geste, la lame a touché sa gorge, lui faisant perler quelques gouttes.
Incroyable, la forte femme qu’elle était a eu peur du sang qu’elle a vu sur ses doigts quand elle les a portés à son cou, elle a tourné de l’œil.
Maman a récupéré le couteau et tranché les liens d’Otto et et Karl, elle leur a demandé de porter Ingrid dans leur chambre.
Cette femme qui n’avait pas hésité à se trancher la langue, était sensible à son propre sang.
Emmerich m’a regardé se demandant certainement pourquoi lui restait attaché, Olga a pris le lien et la brisée montrant sa force au garçon, nul doute qu’après notre départ, tout moment de calme ayant une fin, si elle garde les trois auprès d’elle, ils auront intérêt à filer droit.
Trois pour deux, deux pour un, l’équilibre étant relativement équilibré, le garçon se retrouve allongé entre nous.
Depuis les années où je me suis fait sauter par des dizaines de verges, j’aurais pu être réfractaire aux sexes des hommes, surtout des bites allemandes, mais la compétition avec Olga m’a permis d’avoir envie de cette verge qui se tendait vers moi.
C’est ainsi que nous avons fait une sieste crapuleuse.
Olga était plus directe, une fois qu’il m’eut baisé, elle l’a tiré vers elles et la fait venir la prendre en ...
... missionnaire.
J’ai souvent été baisé par deux hommes à la fois, je suis sûr que ce sera les garçons qui rendront leur tablier.
La ferme entretenue, surtout en hiver, la nuit qui a suivi, j’en ai eu la preuve, ils sont passés tous les trois sur le corps volumineux d’Olga.
Au repas du soir, préparé par Ingrid composé d’épi de maïs trouvé dans la réserve à graine, elle aussi presque épuisée, maman nous a dit que le lendemain nous reprendrions notre route vers la France.
Les trois garçons lui ayant donné des renseignements sur le plus gros des batailles qui se trouvait à moins de 20 kilomètres d’ici.
Pour terminer notre séjour sentant que les heures qui vont suivre seront cruciales pour notre survie, je donne un concert, relayé par maman qui faute de son violoncelle a pris mon violon qu’elle m’avait offert sans connaître la suite de notre vie.
Les garçons nous faisaient danser, ça peut paraître bizarre vu mon parcours, mais c’était la première fois que j’étais dans les bras d’un garçon pour danser.
Au bordel, les hommes étaient là pour se vider les couilles pas pour des mondanités.
Deux minutes, je vais aux toilettes.
Je me suis recouchée précipitamment par chance mamy n’a pas vu ma porte entrouverte.
Si elle a travaillé dans une ferme, elle pisse autant et aussi fortement que les vaches vues dans un pré pendant nos vacances.
Elle retourne à table, j’ai un peu faim surtout quand ils ont trinqué.
- Sans effusion, nous avons remis nos ponchos sans manche, ...