Ma Saint-Sylvestre
Datte: 14/03/2020,
Catégories:
fh,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
strip,
Oral
regrets,
Auteur: Mylène, Source: Revebebe
... ouvrir tout de « go » ma porte et …
Je me trouvai nez à nez avec Michel, mon voisin de pallier qui me gratifiait d’un « bonne année, bonne santé, Mylène » et, sans coup férir, m’embrassait sur les deux joues. Ce faisant, il m’avait pris par les deux épaules et fait lâcher le pan de ma tunique que je tenais sur mon corps dénudé. Par chance, la lumière actionnée par une minuterie s’était éteinte et il ne s’était aperçu de rien.
Dans le séjour, Thomas avait vite repris ses esprits et il nous rejoignit dans le hall d’entrée. En croisant son regard, je compris que j’allais payer ses moments de perdition ou de frustration, voire les deux. À leur tour, les deux hommes s’embrassèrent sur les joues en se gratifiant de tous les vœux d’usage en cette période de l’année. Mais, en même temps, Thomas m’interdisait toute retraite dans le séjour afin que je puisse récupérer quelques vêtements. Il avait repris la main.
J’étais coincée dans le hall de mon appartement par deux hommes dont un qui me savait uniquement vêtue d’une tunique dont j’avais pu, à nouveau, rabattre les deux pans sur ma poitrine, de « DIM UP » et de chaussures à talon haut. Je n’étais plus qu’une « pute » ; oui, Thomas avait fait de moi sa putain et, là, de nouveau, toute ma haine à son encontre commençait à ressurgir. Par chance, Michel avait bien « vécu » et il ne s’apercevait de rien.
Et puis, ce fut un échange de « politesse » entre les deux hommes qui voulaient s’inviter l’un l’autre à fêter la ...
... nouvelle année. Thomas insista un peu et, visiblement, Michel n’avait pas trop envie de refuser.
Thomas m’ordonna plus qu’il me demanda d’offrir un verre à « notre » ami. « Quel salaud, pensais-je ! »
Arrivés dans le séjour, je nous servis une flûte de champagne. Thomas crut bon de proposer un toast à la nouvelle année. Il leva son verre à bout de bras, Michel en fit de même et moi également. Grâce à Dieu, mes talons étaient hauts et ma tunique ne se releva pas trop…. Thomas fut déçu.
Quelques minutes passèrent et l’on vint à nouveau frapper à la porte. J’allais ouvrir lorsque Aurore entra en nous demandant ce que l’on faisait. Aurore était la fille de Michel. Elle venait d’avoir 18 ans et j’étais étonnée qu’elle passât cette soirée avec ses parents. Elle méritait son prénom, car c’était toujours comme une nouvelle journée qui commençait quand tu la voyais ou qu’elle t’adressait la parole. La gentillesse personnifiée !
Les deux machins grommelèrent quelque chose d’incompréhensible qui devait vouloir dire qu’ils arrivaient.
De mon côté, je fus prise d’une peur panique, car il n’était pas rare qu’Aurore ou sa mère rentre dans l’appartement après un bref « tocage » de la porte d’entrée. Et, si c’était elle qui était venue nous chercher la première, elle serait entrée comme elle venait de le faire et m’aurait surprise à genoux, nue devant Thomas dans une position pour le moins scabreuse.
Je remerciai Dieu de nous avoir envoyé Michel et en oubliai presque la situation ...