Ma Saint-Sylvestre - Histoires de Sexe

Ma Saint-Sylvestre

... horizontale s’arrêtait juste au-dessus de ma poitrine. Pour cacher les bretelles de mon soutien-gorge et recouvrir mes épaules, j’avais ajouté une tunique blanche en lin sans manches qui me descendait jusqu’à mi-cuisse et que j’avais laissée ouverte. Pour finir ma tenue de soirée, je portais des escarpins à talon haut. Lorsque je m’étais regardée dans la glace, je m’étais trouvée vraiment pas mal et j’avais pensé « dommage ! ».

Mais revenons à nos moutons, monsieur Thomas allait avoir droit au « grand jeu » et c’est sur une musique des plus classiques pour ce genre d’amusement que j’allais « m’exécuter ». Je me dirigeai vers la chaîne stéréo pour y faire chanter Joe Cocker et son célèbreYou can leave your hat on et le show pouvait commencer.

Au début, j’ai senti dans le regard de Thomas une pointe d’inquiétude. Jamais il ne m’avait vue comme cela, mais le spectacle devait très probablement l’intéresser car, à aucun moment, il ne me proposa d’arrêter, ajoutant que ce n’était qu’une plaisanterie idiote et qu’il regrettait ses propos. D’ailleurs, il s’était confortablement installé dans le divan, une flûte de champagne à la main.

Je me mis face à lui, mes yeux dans les siens, arrogante. En effectuant quelques pas de danse, je faisais descendre doucement les bretelles de la tunique. Une fois celles-ci arrivées en dessous des épaules, la pesanteur fit son effet et le vêtement se retrouva au sol à mes pieds. En me déhanchant langoureusement, je le ramassai et le plaçai ...

... sur le dossier d’un fauteuil.

Maintenant, c’était à la robe qu’il fallait s’attaquer. Je ne faiblissais pas et je crois bien que je commençais à y prendre plus de plaisir que je n’aurais imaginé. Pour enlever la robe, je devais descendre une fermeture à glissière qui partait de sous mon aisselle jusqu’à ma taille. Je commençai à la descendre doucement et, bientôt, le bustier s’entrouvrit, faisant apparaître la fine dentelle de mon soutien-gorge. Il va sans dire que je n’étais pas une « professionnelle » et je fus surprise de constater que, malgré mes déhanchements de plus en plus provocants, la robe verte restait quasiment en place. Je dus donc l’aider un peu en tirant sur le tissu au niveau de mes hanches et, après un bref glissement silencieux, je me trouvai en sous-vêtements. Je me baissai en pliant les jambes de la façon la plus sexy possible pour ramasser la robe et la jeter au visage de Thomas.

Mais, en face de moi, je sentais bien que mon spectateur s’impatientait. Visiblement, il n’était pas là pour me voir en sous-vêtements. Non, Monsieur en veut plus, eh bien je suis d’accord ! Il ne pourra pas dire qu’il n’a pas eu son petit spectacle ; mon orgueil reprenait le dessus. Rapidement, je défis l’attache de mon soutien-gorge en me retournant. J’enlevai la fine dentelle et la lançai dans les airs, présentant à Thomas mon dos nu.

La première partie de son « cadeau » était presque arrivée à son terme et il n’y avait plus qu’un minuscule morceau de tissu à retirer ...