Ma Saint-Sylvestre
Datte: 14/03/2020,
Catégories:
fh,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
strip,
Oral
regrets,
Auteur: Mylène, Source: Revebebe
... pour arriver au clou du spectacle. Je continuai à danser en pinçant entre deux doigts de chaque main le fin élastique de mon brésilien. Bientôt, mon spectateur attentif allait redécouvrir mon adorable petit cul, avec ses belles fesses bien dessinées. Je laissai choir à terre ma dernière protection en serrant les jambes, puis je la ramassai pour l’agiter tel un petit fanion au bout de mon bras droit. Puis, dans un geste de défi, je me retournai pour faire face à mon inquisiteur en prenant bien soin d’écarter les jambes, offrant ainsi mon sexe ouvert à son regard. Je n’étais plus qu’à quelques centimètres de son visage et je pouvais presque ressentir son souffle sur ma peau.
Le stratagème avait réussi. Pendant quelques secondes, Thomas resta troublé. C’était suffisant pour passer à la deuxième partie du cadeau. Je me jetai sur lui, le repoussant au fond du divan et, telle une panthère, j’ôtai le bouton de son pantalon et descendis sa braguette. Je retirai son sexe, gonflé par le spectacle précédemment offert, de son ultime abri et le pris à pleine bouche. Il allait voir ce qu’il allait voir, ce connard !
Il me semblait, ou je pensais que j’avais repris les choses en main ; dans la bouche, aurait été le terme le plus approprié. J’entrepris un lent et tendre va-et-vient sur la verge de ma « victime » et, à la réflexion, si victime il y avait, elle était pour le moins consentante. Je m’appliquais de mon mieux, car je dois bien avouer que c’était une des premières fois que ...
... je réalisais ce genre de prouesse, mais, aux réactions de Thomas, je savais que je ne me débrouillais pas si mal en suçant, caressant ou malaxant son « service trois pièces ». Dans notre liaison, il y avait toujours une « petite » relation de dominant à dominée et là, c’était moi qui dominait et j’en éprouvais un sentiment de bien-être, malgré le fait d’avoir son instrument « répugnant » dans la bouche.
Dans ma bouche, oui, j’oubliais. Il était dans ma bouche qui était toujours « pucelle » et qui à n’importe quel moment pouvait recevoir son … Un haut-le-cœur et des frissons me parcoururent le corps, mais il n’était pas question de lâcher le morceau et le morceau était digne d’une reine. Je sentais Thomas se détendre ou se tendre au gré de mes manipulations manuelles et buccales. Je me disais qu’il serait bien temps d’agir « avaler ou cracher ce venin infâme », lorsque cela arriverait. J’en étais dans ces réflexions lorsque, tout à coup, j’entendis taper à la porte.
Pendant quelques secondes, je continuai mon œuvre mais, bientôt, on ne frappait plus à la porte. L’inopportun ou l’inopportune était passé au tambourinage. Non, il n’était pas question d’arrêter maintenant, je le tenais et il allait « payer » ses remarques désobligeantes, mais les coups à la porte redoublaient et si l’inopportun continuait, il allait réveiller tout l’immeuble. De dépit, je me levai laissant Thomas à ses … (à ce qu’il veut cet imbécile !), attrapai au passage ma tunique, l’enfilai et allai ...