Deux plus deux
Datte: 13/03/2020,
Catégories:
h,
fh,
hh,
couple,
douche,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Auteur: Rimaye, Source: Revebebe
... enfants. Ils avaient fait construire une maison pour une famille nombreuse, et se retrouvaient à y vivre seuls. Aussi proposaient-ils leur chambre d’amis à la location, pour avoir de la compagnie et rompre un peu la monotonie. Ils pratiquaient aussi tous deux la course à pied – encore un point commun…
Ma chambre se trouvait à l’étage. Ils l’avaient entièrement refaite quatre années auparavant, pour réduire le nombre de chambres à deux : la leur et la chambre d’ami / locataire. Les pièces étaient immenses et meublées avec goût. Les lits étaient eux aussi gigantesques, dignes d’un palace. Entre les deux chambres, au bout du couloir, la salle de bains avait elle aussi des proportions hors normes. Ils y avaient installé un hammam au centre de la pièce : une cabine vitrée assez grande pour une demi-douzaine de personnes, avec bancs en bois, douches, et arrivées de vapeur. Elle faisait aussi office de douche. On y accédait directement par une porte depuis chacune des deux chambres.
La fenêtre de la salle de bain donnait sur la campagne, que l’on apercevait en contrebas de la colline où était établie la ville. Vertes prairies, arbres en fleurs, troupeaux paissant mollement. Je me sentais chez moi.
L’après-midi et la soirée avaient vite passé en si bonne compagnie. Je m’étonnais de trouver autant de points d’intérêts communs avec Julien et Véronique, et me félicitais d’être arrivé chez eux. Le hasard faisait bien les choses.
Nous avions dîné dans le grand salon qui ...
... donnait lui aussi sur la campagne ; une averse nous avait contraints à renoncer à manger dans le jardin. À neuf heures du soir, je m’éclipsai : je me devais d’être frais pour ma première journée de travail, et j’avais tant à raconter à ma douce Caroline.
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Après avoir raccroché avec Caroline, je sortis dans le couloir pour aller aux toilettes. Pieds nus sur la moquette profonde, je m’immobilisai devant la porte de la chambre de Julien et Véronique. Des bruits étouffés s’en échappaient. Je me figeai, n’osant plus bouger. Tendant l’oreille, je perçus un souffle de contentement, puis un murmure : une voix féminine. Le murmure se fit feulement. Un bruit de clapotement l’accompagnait. Puis Véronique se mit à gémir de plus en plus distinctement, et avec de moins en moins de retenue, poussant de temps à autres des petits « Ah ! » ou de profonds « Oh ! ». Parfois aussi des « C’est bon ce que tu me fais ».
Mon esprit battait la chamade. Mes hôtes devaient faire l’amour, là derrière la porte. J’essayai d’imaginer le corps de Véronique dénudé… et y arrivai aisément. Je visualisai plus difficilement Julien, et surtout ce qu’il faisait, jusqu’à ce que Véronique dise distinctement dans un râle de délectation :
— Oh oui, mange-moi, dévore-moi, tu vas me faire jouir !
Quelques instants plus tard, elle explosait en plusieurs soubresauts de plaisir dont la violence me saisit.
J’étais toujours immobile dans le couloir, le souffle coupé, n’osant plus bouger, attendant la ...