Deux plus deux
Datte: 13/03/2020,
Catégories:
h,
fh,
hh,
couple,
douche,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Auteur: Rimaye, Source: Revebebe
... suite. Je me rendis compte que mon membre était dressé, dur à m’en faire souffrir, et qu’il luisait abondamment de désir. Après quelques instants de répit, j’entendis Véronique murmurer d’une voix féline :
— À mon tour maintenant de m’occuper de toi… par où vais-je t’attaquer ?
— Par où tu veux, mon amour, répondit Julien dans un souffle. Je sais que tu trouveras ce qu’il faut.
— Assieds-toi ici sur le bord alors…
Ils ne dirent plus rien, mais je les entendis bouger. Puis encore une fois, j’entendis un bruit de succion. Je ne m’imaginais que trop bien la belle Véronique agenouillée entre les cuisses de son homme, engloutissant à bouche goulue son membre turgescent. À en juger par les soupirs d’aise de Julien, elle devait très bien s’y prendre. Puis Julien poussa un cri étouffé :
— Oh oui ma chérie, je viens… continue… avale-moi, oui, comme ça, ne t’arrête pas… oh ! c’est bon ce que tu me fais, je jouiiiiiis… tu es en ange… ou un démon… j’adore ce que tu me fais… finis jusqu’à la dernière goutte… comme ça, oui… tu aimes n’est-ce pas ?
Je me rendis compte que je tenais mon sexe dans la main et que j’étais moi aussi au bord de l’explosion. Furtivement, j’allai me finir aux toilettes. Lorsque je sortis, je croisai Julien dans le couloir, juste vêtu d’un slip maculé d’une tâche humide ; je tentai de dissimuler les restes de mon érection. Nous échangeâmes un sourire un brin gêné.
Puis je m’endormis d’un sommeil de plomb.
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Ma première journée de ...
... travail se passa fort bien. Mes nouveaux collègues, au nombre d’une quinzaine, étaient tous forts sympathiques. Je devais m’occuper de développement d’un nouveau produit avec trois collaborateurs – un homme et deux femmes. L’ambiance était conviviale et visiblement sans pression.
La soirée venue, je mangeai avec Julien et Véronique ; une soirée tranquille à deviser sur les sens de la vie en écoutant de la bonne musique.
Ce soir-là, il n’y eut pas de bruit dans la chambre voisine. Je mis du temps à m’endormir, guettant chaque bruit dans la maison, et laissant mon imagination s’enflammer sur les souvenirs de la veille. Dans un demi-sommeil, des images emmêlant les corps nus de Véronique et Julien se succédaient. Ils faisaient l’amour, en position du missionnaire, le grand corps musclé de Julien recouvrant entièrement sa femme Véronique.
Puis, sans crier gare, ma femme Caroline surgissait au milieu de la scène, debout, entièrement nue, impudiquement offerte, silhouette blanche où seuls se détachaient la masse noire de sa longue chevelure et le triangle noir de son pubis. Elle s’approchait du couple enlacé, se penchait sur eux, sa main caressant le dos de Julien, descendant sur ses fesses, puis venant se saisir de ses bourses gonflées qui ballottaient entre les cuisses ouvertes de Véronique. De gestes doux et précis, elle faisait aller et venir la verge turgescente entre les lèvres gonflées de plaisir, amenant les deux amants à une extase longue, bruyante et dégoulinante de ...