Deux plus deux
Datte: 13/03/2020,
Catégories:
h,
fh,
hh,
couple,
douche,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Auteur: Rimaye, Source: Revebebe
... trajet jusqu’à la maison de mes hôtes était facile à trouver, et après quelques embranchements, je m’engageai dans une petite rue bordée de villas. Je sonnai au numéro 15 où une grande haie cachait la maison aux yeux des passants.
Une très jolie femme vint m’ouvrir, me souhaitant la bienvenue d’un ton plein d’allant et de simplicité :
— Romain ? Enchantée : je m’appelle Véronique. On peut se tutoyer ? Suis-moi, je vais te faire visiter.
Je ne pus m’empêcher de détailler son corps parfait en la suivant dans l’allée gravillonnée qui menait à la maison. Nous devions avoir le même âge, entre 35 et 40 ans – l’âge où les femmes atteignent leur plénitude, sûres de leur beauté et de leur influence sur les hommes. Elle était vêtue d’une jupe descendant aux genoux qui moulait deux adorables fesses, prolongées par deux jambes fuselées et parfaitement lisses. Elle devait être très sportive à en juger par son allure. Son tee-shirt cintré mettait en valeur sa taille fine – pas un gramme de trop, assurément – et moulait deux seins rebondis – je jurai qu’elle ne portait pas de soutien-gorge, à en juger par la petite pointe que faisaient ses tétons à travers l’étoffe.
Elle avait enfin un visage délicieux, de grands yeux bleu clair, une bouche aux lèvres fines et au sourire enjôleur, et un petit nez retroussé. Enfin, une abondante chevelure blonde lui tombant sur les épaules venait parfaire un tableau proche de la perfection. J’en étais tout étourdi… à en oublier ma belle et ...
... brune Caroline. Elle aussi si belle mais si différente, les cheveux presque noirs et bouclés, les lèvres charnues, les petits seins fermes, les fesses et le ventre plus charnus… Je ne pus m’empêcher d’établir aussitôt la comparaison avec la femme que j’aimais.
On accédait à la villa par un petit escalier serpentant entre les fleurs (ce qui me laissa tout le loisir d’admirer les fesses de mon hôtesse). La maison était grande et très belle, avec des murs en pierres apparentes sur leur soubassement, puis peints d’un blanc éclatant. Tout le jardin l’entourant était une explosion de fleurs aux couleurs chaleureuses et aux parfums enivrants.
Véronique me fit entrer dans un grand hall carrelé. Aussitôt, son mari vint à ma rencontre.
— Romain ? Enchanté, moi, c’est Julien. Je pense qu’on peut se tutoyer, on doit avoir presque le même âge, non ? En plus, si j’ai bien compris, tu vas rester quelque temps chez nous, donc autant partir sur de bonnes bases.
Je fus aussitôt conquis par ce couple aussi sympathique. Nous passâmes l’après-midi à visiter leur villa et leur jardin, et à discuter comme si nous nous connaissions depuis des années. Ils m’apprirent qu’ils vivaient ici depuis une quinzaine d’années ; eux aussi avaient été attirés par la « vie provinciale », après avoir débuté à Paris. Julien était chef d’une petite entreprise de services, et Véronique était conseillère dans une agence bancaire. Nous nous découvrîmes un point commun : eux aussi avaient échoué à avoir des ...