Donnant donnant
Datte: 31/03/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
extracon,
grosseins,
groscul,
poilu(e)s,
lunettes,
campagne,
fête,
collection,
BDSM / Fétichisme
odeurs,
Oral
préservati,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
Humour
occasion,
Auteur: XXL, Source: Revebebe
... application et méthode… Elle venait de m’enfiler un préservatif et, assez crûment, elle me fit comprendre que ça ne la dérangeait pas du tout que je passe par l’entrée de service. Comme ma chère épouse avait toujours refusé cette pratique, j’acceptai, à condition qu’elle m’initiât… Visiblement, elle avait de l’expérience car, après s’être lubrifiée le trou du cul, elle me fit asseoir sur une chaise. La queue bien raide tendue vers le plafond, je ne fus que spectateur. La couturière, debout et à califourchon, s’enfila elle-même sur mon sexe. Elle ferma les yeux et imprima à ses hanches un frénétique mouvement de va-et-vient, laissant virevolter ses grosses mamelles dans l’espace.
Le raccourcissement des manches de ma veste me coûta quand même soixante euros : « On ne mélange pas les affaires et le plaisir… » énonça-t-elle en me raccompagnant. Ce ne fut que le matin du mariage, à la piscine, que Sylvette m’apprit que les gens de son village appelaient la couturière « la tirelire » : jambes ouvertes, à condition de mettre une grosse pièce dans la fente.
En fait, je n’avais jamais trompé mon épouse. Le boulot, les enfants, les problèmes de pognon, les ennuis de santé des parents, avaient accaparé ma vitalité. Mes rêves érotiques compensaient la routine du mariage. Je crois bien que, dans ces digressions nocturnes, l’opulente et jeune employée de la poste m’avait supplié de la sodomiser une bonne dizaine de fois. Pour une fois que je passais du rêve à la réalité, j’étais ...
... servi ! Malgré ces deux expériences humiliantes pour mon ego, je me refusais à virer à la misogynie.
Je m’ennuyais ferme au mariage, avec ma splendide veste en jean bleu. J’avais un peu sympathisé avec mon voisin car lui non plus ne dansait pas. Et pour cause, il avait une canne et devait friser les soixante-dix ans. De fil en aiguille on en vint à parler vacances. Je fus bien obligé de lui avouer que, avec la contribution que mon épouse me demandait pour me laisser la maison, j’étais un peu juste financièrement parlant, ces temps-ci.
C’est à ce moment-là que son épouse, en nage, vint déposer sa veste blanche pour repartir sur la piste, dans un groupe qui gesticulait frénétiquement. Sa femme devait avoir à peu près mon âge. Elle paraissait, disons dodue, certainement à cause de sa petite taille, d’ailleurs. La pauvre était aussi affligée d’un nez proéminent et busqué.
Sur la piste de danse, elle se donnait à fond. Son pantalon sarouel blanc, éclairé par les UV des spots, ne dissimulait plus du tout le triangle étroit d’un string qui naissait au bas du dos pour se transformer en ficelle entre ses fesses, assez plates d’ailleurs.
— Elle est encore pas mal ma femme, vous ne trouvez pas ? Je l’adore toujours mais, je suis bien incapable de satisfaire les besoins légitimes que sa sexualité épanouie réclame. Vous savez, c’est moi qui lui ai proposé de prendre des partenaires sexuels, de temps en temps. Notre couple survit parfaitement grâce à cet arrangement. Je vais me ...