1. Donnant donnant


    Datte: 31/03/2018, Catégories: fh, fplusag, extracon, grosseins, groscul, poilu(e)s, lunettes, campagne, fête, collection, BDSM / Fétichisme odeurs, Oral préservati, pénétratio, fdanus, fsodo, Humour occasion, Auteur: XXL, Source: Revebebe

    Rien n’allait mal. Mon épouse avait décidé de prendre un congé conjugal sabbatique. Elle désirait vivre autre chose, après trente ans de mariage… Grand bien lui fasse !
    
    Il était dix heures, j’arrêtai la voiture sur un parking de l’autoroute qui me ramenait des magasins d’usine de Troyes, pour une pause cigarette suivie d’un café serré. J’avais enfin déniché, pour honorer une invitation à un mariage, une veste sport en jean, maisNewMan quand même. Il ne me restait que cinquante bornes avant de retrouver ma maison vide, et les messages du répondeur téléphonique que j’appréhendais…
    
    Désabusé, je jetai mon mégot dans le gazon et constatai que je n’étais pas le seul dans la guigne. Un break allemand, plus tout jeune, inoccupé, le capot levé, finissait de vomir un nuage de vapeur d’eau bouillante. Je sirotais mon café, assis à une table de la cafétéria, quand une bonne femme, la soixantaine, en ensemble tailleur abricot, enserrant un petit chien dans ses bras, traversa la salle, tout sourire, pour venir m’aborder.
    
    — Mon cher Pierre, je suis vraiment bien contente de vous voir, vous tombez à pic, figurez-vous qu’une durite de la voiture a explosé et que le gérant du relais d’autoroute attend qu’un de ses employés nous en ramène une neuve mais, seulement en fin d’après-midi. Heureusement que je vais pouvoir bénéficier de votre voiture pour nous ramener ma Betty et moi, j’avais presque convaincu mon mari d’appeler un taxi mais c’est désormais inutile, vous êtes notre bon ...
    ... Samaritain !
    
    Perplexe, je regardais cette dame qui connaissait mon prénom mais que, au premier abord (et même au deuxième) je n’arrivais pas du tout à me remémorer. Ses cheveux mi-longs étaient coiffés en arrière, alliant de voluptueuses ondulations blondes avec des mèches châtain-roux. Les revers de la veste abricot étaient noirs, et le vêtement s’évasait en corolle vers la taille, comme pour dissimuler des hanches larges. La jupe, assez courte, collait à ses cuisses puissantes en laissant échapper les jambes, gainées de noir, aux chevilles pourtant fines, mises en valeur par des talons très hauts. Elle se rendit compte, devant mon air niais, que je ne la reconnaissais pas.
    
    — Que je suis bête, Pierre, vous ne pouviez pas me reconnaître car, à la piscine, je porte un bonnet en silicone et vous ne m’avez vue qu’en maillot de bain. Je suis Sylvette, on a pris des cours de perfectionnement à la piscine, ensemble, il y a deux ans. Vous vous souvenez ? On s’est même revus après, le samedi matin. J’avais même réussi à convaincre des amies de venir barboter avec moi.
    
    Effectivement, cette jeune retraitée était devenue ma copine de piscine. Elle était d’une bonne humeur inaltérable et, entre quelques longueurs de bassin, on faisait une pause détente et papotage. Sa poitrine, pas énorme mais lourde, semblait encore bien se tenir dans son maillot de bain noir. Comme je pratiquais la brasse coulée, je prenais plaisir à reluquer, sous l’eau, son gros cul rebondi. Je synchronisais ...
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