1. Donnant donnant


    Datte: 31/03/2018, Catégories: fh, fplusag, extracon, grosseins, groscul, poilu(e)s, lunettes, campagne, fête, collection, BDSM / Fétichisme odeurs, Oral préservati, pénétratio, fdanus, fsodo, Humour occasion, Auteur: XXL, Source: Revebebe

    ... comprendre qu’on continuerait à se voir à la piscine, mais qu’elle ne tenait pas du tout à ce que des relations plus intimes s’établissent. Quid de son égarement passager ? Message reçu cinq sur cinq, chère Madame. Elle eut quand même l’amabilité de me donner les coordonnées de sa couturière, qu’elle préviendrait de ma venue : les manches de ma veste en jean étaient trop longues et le mariage était proche.
    
    Le lendemain matin, je me précipitai donc chez la couturière. Sylvette m’avait expliqué que cette brave dame était veuve et qu’elle bossait au noir pour compléter sa maigre retraite. Une dame de grande taille m’accueillit, dans un tablier de travail assez informe. Derrière ses grosses lunettes rectangulaires, son regard me détailla brièvement de la tête aux pieds. Ses cheveux étaient lisses, courts et teintés d’un blanc encrier, uniforme. Je lui donnais soixante-cinq ans, peut-être plus même. Ce qui me surprit le plus c’est que son tablier de travail, qui avait connu des jours meilleurs, contrastait énormément avec son maquillage soigné, avec son parfum puissant de chèvrefeuille, et aussi avec une paire de bottines lacées d’un noir étincelant. En fait, je me suis dit qu’elle s’apprêtait à partir faire les courses.
    
    La couturière, très professionnelle, me fit essayer la veste, repéra à la craie la longueur, retourna la manche pour observer les coutures… Bref, elle m’assura que cela ne posait aucun problème technique mais… elle était débordée de travail et, bien que ...
    ... Sylvette m’ait recommandé, elle ne me promettait pas d’être dans les temps !
    
    — Il est évident, Madame, que vous fixerez vous-même votre dédommagement. Je suis bien conscient de perturber votre calendrier de travail mais j’ai absolument besoin de ma veste pour samedi.
    
    La dame enleva ses lunettes et un sourire énigmatique se dessina sur ses lèvres rouge sang.
    
    — Je suis persuadée que nous allons trouver un arrangement, jeune homme.
    
    Plus rien me m’étonnait mais je mis bien une grosse minute avant de retrouver ma sérénité.
    
    La couturière déboutonna calmement son tablier et le jeta sur sa table de travail. Elle ne portait qu’une culotte fuchsia, échancrée, aux bords flottants de dentelle blanche. Une cicatrice balafrait la petite surcharge pondérale qui débordait du slip et allait mourir vers le nombril. Ses longues mains s’emparèrent de son énorme paire de nichons pour me les présenter en offrande.
    
    — Un écrivain a écrit qu’il était délectable de séduire une dame âgée, car on avait l’impression qu’elle faisait l’amour pour la dernière fois, tant la fougue féminine était grande… Je crains que vous ne soyez obligé de vérifier ses dires si vous n’avez pas d’autre veste pour le mariage… Donnant donnant, la vie est une lutte, cher monsieur !
    
    J’ai encore en mémoire l’image de cette plantureuse mamie, à quatre pattes dans la longueur du divan. Moi, j’étais debout, collé à l’accoudoir, les mains accrochées à ses nichons, et elle me suçant le phallus lentement, avec ...
«12...5678»