Donnant donnant
Datte: 31/03/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
extracon,
grosseins,
groscul,
poilu(e)s,
lunettes,
campagne,
fête,
collection,
BDSM / Fétichisme
odeurs,
Oral
préservati,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
Humour
occasion,
Auteur: XXL, Source: Revebebe
... posant son échelle sur le mur de séparation.
Complètement paniquée, elle se réfugia derrière le muret et la poterie qui contenait le laurier rose. Elle m’intima l’ordre de me planquer, craignant certainement que le voisin ne s’interroge sur la présence d’un homme torse nu à ses côtés. Assis sur le carrelage, adossé au muret, j’attendais donc la fin de la conversation avec ce brave homme qui expliquait qu’il avait décidé de couper le haut du massif de bambous. Sylvette trouvait que c’était une bonne idée, vu que les branchages faisaient de l’ombre à ses plantes.
Un peu humilié de ma position, l’idée me vint de déstabiliser mon hôtesse qui continuait à pérorer, ignorant royalement ma présence. Je posai une main sur le genou et j’entrepris lentement une progression en hauteur, sous la jupe, par l’intérieur de la cuisse. Je venais de quitter la limite du bas et m’aventurais sur la chair nue. Ma main était maintenant en lutte avec celle de Sylvette, qui manifestement ne voulait pas que j’explore le fin textile jaune de la petite culotte. Elle me chassa trois fois, je revins quatre fois. Elle essaya bien de m’empêcher de tirer la lingerie vers le bas, mais comme on frisait le déchirement du tissu, elle me laissa, très irritée, lui baisser le slip à mi-cuisse. Le minou était joufflu, la toison abondante, frisée et vagabonde.
J’ai cru que ça tournait mal pour moi quand, le jardinier disparu :
— Ce n’est pas bien ce que vous avez fait, Pierre… J’ai honte… Je suis une ...
... honnête femme et vous avez trahi ma confiance.
Elle rajusta sa culotte, rabaissa sa jupe en la lissant et, alors que je me relevais, un peu honteux, elle me fixa droit dans les yeux pour me tenir des propos étranges :
— Je ne peux plus supporter ce tas de gravier au milieu de la pelouse. Tous les matins, en ouvrant les volets, je tombe sur cette chose immonde qui me gâche mon petit déjeuner depuis deux ans. J’en fais même des cauchemars ! Je vais vous faire une proposition qui me coûte énormément, mais je n’ai pas le choix. J’accepte de m’abandonner à vos caprices libidineux si vous m’étalez ce mètre cube de gravillons dans les allées du jardin. C’est du donnant donnant, mais ça me semble une proposition honnête, non ?
J’exigeai d’être payé d’avance car je me méfiais. Elle accepta car je lui dis que ce n’était pas négociable. Elle me fit jurer sur la tête de mes enfants de tenir ma promesse.
Au pied des marches qui menaient à la chambre d’amis, Sylvette me gronda d’avoir fripé sa jupe et d’avoir presque distendu son slip. Alors qu’elle se débarrassait de la jupe pour la ranger soigneusement sur le dossier d’une chaise, je pris la liberté de lui ôter sa culotte par surprise. À ma grande surprise, Sylvette ne râla pas. Elle me sourit coquinement en gravissant quelques marches et se retourna, étonnée, car je ne la suivais pas dans l’escalier. Elle comprit que j’étais en train de me rincer l’œil avec une vue imprenable, en contre-plongée, sur sa moule dodue qui émergeait ...