1. Donnant donnant


    Datte: 31/03/2018, Catégories: fh, fplusag, extracon, grosseins, groscul, poilu(e)s, lunettes, campagne, fête, collection, BDSM / Fétichisme odeurs, Oral préservati, pénétratio, fdanus, fsodo, Humour occasion, Auteur: XXL, Source: Revebebe

    ... Elle rigola et m’expliqua qu’elle avait acheté cette petite culotte aguichante pour raviver les ardeurs de son mari, mais que non seulement cela n’avait eu aucun effet mais qu’en plus, Monsieur avait trouvé la lingerie très vulgaire et indigne d’une femme respectable !
    
    Installé dans leur véranda qui s’ouvrait sur un jardin ensoleillé, après avoir déchargé la voiture, mon hôtesse m’apporta un rafraîchissement bien mérité. Elle s’était débarrassée de la veste de son ensemble abricot, et son chemisier sans manches dévoilait une pilosité discrète aux aisselles. Avec beaucoup de diplomatie et de sourires affables, elle essaya de me persuader de l’aider à sortir ses volumineuses plantes méditerranéennes sur la terrasse, pour qu’elles profitent de la lumière, et des averses prévues dans la nuit. D’après elle, il n’y en avait que pour un gros quart d’heure, à deux, à déplacer les massifs sur le petit muret bordant la terrasse. Les poteries qui hébergeaient citronnier, laurier rose, olivier nain et une quinzaine d’autres plantes étaient trop volumineuses pour elle. Son mari refuserait de l’aider et son fils ne viendrait lui rendre visite que dans deux mois. Elle avoua profiter de la situation mais elle était persuadée que j’étais un garçon charmant, serviable, etc.
    
    Bien entendu, le petit service dura trois quarts d’heure ! Je dus tomber la chemise tant je transpirais à déplacer ces lourdes poteries gorgées de terre. Sylvette, le buste incliné, remplissait deux verres de jus ...
    ... d’orange frais pendant que je m’épongeais le torse en imaginant sa belle croupe tendue, dépourvue de toute entrave vestimentaire. Je n’en suis toujours pas revenu d’avoir osé lui dire :
    
    — Quel gâchis d’avoir un mari si pleutre ! Il devrait quand même essayer d’assurer ses obligations conjugales ! En tous cas, moi je me porte volontaire pour assurer l’intérim…
    — Vous ne manquez pas d’air, mon cher Pierre, je suis une femme honnête et je peux survivre à quelques désagréments corporels. De toute façon, vous seriez bien en peine de me dire ce qui peut bien vous exciter dans ma modeste personne. Peut-être êtes-vous un dangereux pervers spécialisé dans la débauche des dames d’un certain âge ? Allez, ne vous dégonflez pas, je vous écoute.
    
    Très sûre de gagner son défi, Sylvette sirotait la boisson fraîche en me narguant de son regard, amusée de mon embarras.
    
    — Je ne pense pas être plus pervers que les autres, mais au risque de me montrer impertinent, je suis bien obligé d’avouer que vous avez une poitrine aux seins lourds qui m’émeuvent énormément, une croupe splendide qui donne des envies inavouables…. En plus, la pilosité sous les bras me laisse présager une toison de rêve, luxuriante, embaumant un parfum de fleur sauvage, j’en suis persuadé.
    
    Un tantinet interloquée quand même, Sylvette, beau joueur, éclata de rire.
    
    — Celle-là, je l’ai pas volée… Enfin un homme franc et direct !
    
    Elle cogitait visiblement une réplique assassine quand on entendit le voisin siffloter en ...
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