Souvenirs des Maldives - Histoires de Sexe

Souvenirs des Maldives

... mari, lui habilla également son sexe en érection. Et là, la séance commença.

— Présente-moi ton dos et penche-toi en avant ! lui ordonna-t-il.

Il l’attrapa par le bassin et pénétra sauvagement sa croupe en levrette. À la seconde près, il fit un signe de la main, et deux sexes me transpercèrent de part en part ; je laissai échapper un cri, quand un troisième se logea dans ma gorge, m’étouffant littéralement tellement il était gros. Je réalisai alors, dans le peu de lucidité qu’il me restait, que mon homme que j’aimais tant, était en train de m’offrir mon fantasme jusqu’ici inassouvi.

Je sentais ces deux queues glisser en moi. Mes tortionnaires me tenaient fermement les jambes, s’adonnant à un rythme lent qui amplifiait la sensation de cette double possession, j’étais soumise et me sentait honteuse, mais mon esprit lâchait prise petit à petit, j’appréciai la taille généreuse de leur sexe ; le troisième s’en donnait à cœur joie à me remplir la bouche de sa verge dure, me pétrissant les seins et pinçant mes mamelons. Toutes ces mains sur moi m’étourdissaient, et je mouillais comme une folle… un petit liquide coulait sur mes fesses rondes motivant davantage mes partenaires. Ils accélérèrent le rythme par de petits mouvements rapides et saccadés, je les sentis me pénétrer jusqu’à la garde de leurs sexes, écrasant mon clitoris. Je dégageai alors la queue de ma bouche, ne pouvant plus m’empêcher de gémir :

— Amusez-vous, Messieurs, donnez-moi du plaisir ! Baisez-moi ...

... encore !

Je soupirai, poussant des petits cris de plaisir ; c’était si bon, jamais je n’aurais pensé pouvoir m’adonner à une telle chose, je ne me reconnaissais pas et j’aimais ça ! !

Sans se faire prier, l’un deux me répondit :

— Oh que oui, on va s’amuser ma belle ! On va te baiser encore et encore, tu as l’air d’aimer ça !
— Ah ouiiiii, j’aime ça. Faites-moi jouir, possédez-moi encore ! Mmmm… !
— Tu sens nos queues comment elles te démontent ? On t’enfile de partout !
— Mmmm… ouiiiii, faites-moi mal, donnez-moi vos grosses queues, c’est bon !

Leur langage était cru mais j’y prenais un plaisir inavouable, je n’étais plus moi, je sentais leur mains me tenir fortement, me caresser, je sentais leur doigts glisser sur ma peau et me pincer comme pour me rappeler à la réalité, j’étais leur chose, leur objet… « Dimitri, que fais-tu de moi ? Prends-tu du plaisir toi aussi ? » Je me posais toute sorte de question…

Le troisième revint à la charge :

— Tiens, avale-moi, suces !

Leurs mots m’excitaient, exacerbaient mes sens… ma langue glissait et roulait sur ce sexe dur dont le gland était enflé et rond, je ne perdais cependant aucune sensation de ce qui allaient et venaient entre mes cuisses, dans mon ventre. J’aimais cela et je pensais encore à Dimitri, j’aurais donné n’importe quoi pour le sentir en moi mais mon esprit vagabondait, s’enfonçait peu à peu dans les abysses…

J’étais comme une panthère affamée, mon corps tout entier dévorait mes proies avec un ...