Souvenirs des Maldives
Datte: 11/03/2020,
Catégories:
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Auteur: Crazy désir, Source: Revebebe
... claquaient sur mes fesses ; il labourait mes entrailles de sa queue et du pilon de verre qui déversait ses fines bulles au fond de mes chairs, leur offrant une sensation de chaleur intense… la tête me tournait, mon corps était à sa merci, le champagne débordait de ma chatte et je mouillais intensément ; c’était torride et dans un ultime gémissement, je me laissai aller à « la petite mort », vidée de mes forces dans ses bras.
Il était temps pour nous de descendre à la réception et de faire connaissance avec la beauté des lieux ainsi que les divertissements que l’hôtel avait à nous offrir.
Cet endroit avait quelque de chose de magique et d’inquiétant à la fois… Les décors de l’après-midi s’étaient comme évanouis, laissant place à des jeux de lumières étourdissants parmi lesquels évoluaient des silhouettes sombres s’adonnant à de véritables ébats sexuels, telle une partouze géante.
Les ombres dansaient sous la gestuelle d’un maître de cérémonie, faisant claquer vigoureusement un fouet sur les colonnes de marbre du grand salon. Nous étions samedi soir, c’était notre soirée de « Bienvenue ». C’était grandiose et magnifique !
L’hôtel offrait des ambiances et des décors envoûtants, sulfureux, fantastiques, ethniques et enivrants… comme s’il se nourrissait des fantasmes de ses occupants… Nous étions son essence charnelle, ses élixirs humains.
Nous marchions sans but précis, quand tout à coup, enlevée à Dimitri par un inconnu, je me retrouvai quelques minutes plus tard ...
... isolée dans une pièce sombre et étroite.
Affolée, je cherchai mon mari, je l’appelai, mais rien… un lourd silence m’enveloppa et je n’entendis plus que les battements de mon cœur.
Quelques minutes après, je perçus des gémissements, des soupirs, des cris de plaisir et de douleur à la fois…
La faible lumière s’éteignit, et subitement une force invisible et brutale m’extirpa de ma cellule. En un instant, je me retrouvai à même le sol, écartelée, solidement ligotée à quatre pieux de forme phallique. Un feu crépitait non loin de moi et j’eus l’impression que les flammes n’avaient qu’un envie, celle de me lécher. Je hurlai, suppliant que l’on me relâche, je me débattis comme une tigresse… mais c’était peine perdue !
Une amazone brune s’avança vers moi, arborant une petite jupe en peau qui laissait deviner la rondeur des ses fesses et son entrejambe libre de tout tissu. Elle avait une poitrine généreuse dissimulée sous des colliers et des médaillons métalliques qui frottaient ses mamelons érectiles. Elle se pencha sur mon visage pour me bander les yeux, et ses seins fermes et ronds me frôlaient les joues et la bouche ; malgré ma peur, elle m’excitait et je ne pouvais pas résister à l’envie de lui sucer ses petits bouts durs à portée de mes lèvres, ce que je fis, et je me délectai… elle me teint les cheveux afin de me faire cesser, finit de nouer le bandeau qui m’occultait toute vision et me glissa un doigt dans la bouche, puis m’embrassa à pleine langue…
Pendant que ...