Souvenirs des Maldives - Histoires de Sexe

Souvenirs des Maldives

... je savourais ce baiser humide et vorace, je sentais une présence à côté de moi, des doigts qui effleuraient mon ventre, pressaient ma taille ; je reconnaissais ce toucher qui m’était familier, oui c’était lui, mon homme dont je connaissais bien les mains fermes et si rassurantes…

Il me murmura à l’oreille, dans un souffle chaud :

— Tout va bien mon ange, je suis là, j’ai choisi rien que pour toi, trois hommes félins à souhait pour te combler pendant que je m’amuse avec elle, calme-toi, profite de l’ivresse du moment. Je te veux et je t’aime.

Dans une étreinte profonde, il ôta le foulard de mes yeux et fit signe à la brune aux magnifiques jambes fuselées. Elle revint avec une petite coupelle dans laquelle elle plongea une main, me chevaucha et commença à me masser les seins… Elle me passa de l’huile sur le buste, s’attarda sur mes mamelons qu’elle pinça avec violence ; je sentis mon corps se raidir de douleur et d’excitation, des picotements me dévorèrent le bas-ventre et le pubis ; elle descendit vers mon sexe, frotta mon clitoris et mes lèvres gonflées par de petits mouvements circulaires… subitement je m’enflammai, ma peau au contact de l’huile devint chaude et les sensations étaient brûlantes ; elle trempa de nouveau sa main dans le petit récipient et enfila ses doigts dans ma chatte et mes fesses trempées, faisant de mes parties les plus intimes un véritable brasier ; j’avais l’impression que sa main toute entière possédait mes deux trous avides de plaisir, ...

... j’étais au bord de l’orgasme…

À ce moment précis, mon homme à genoux près de moi, attrapa d’un geste brusque la tête de ma cavalière entre ses cuisses, et lui fit lécher ses bourses bien pleines ; il lui enfourna sa queue dure et enflée de désir dans la bouche ; le regardant ainsi rythmer la cadence de cette fellation sauvage, je mourrais d’envie de me joindre à eux. J’étais toujours ligotée au sol, dans l’incapacité de bouger ; je les observais prendre du plaisir, profiter chacun des atouts de l’autre, j’entendais leurs mots et leurs soupirs, leurs souffles saccadés… mes sens étaient décuplés tant l’excitation était vive ! Palpant mon impatience, il ramena sa partenaire à lui, et appela mes « bourreaux ».

C’est alors que je vis trois hommes se diriger vers moi. Leurs corps, musclés tels des apollons, me narguaient de leur peau satinée et lisse. Ils n’étaient vêtus que de larges liens en cuir, aux poignets et aux chevilles, leur cou était orné de médaillons en métal rappelant ceux de leur compagne aux cheveux bruns.

Vigoureux, leurs membres se dressèrent tels des lances prêtes à exploser. Ils attrapèrent mes jambes faisant jaillir deux pieux de la terre et, par une légère rotation, présentèrent mon bassin de façon à pouvoir en profiter pleinement. J’imaginais déjà une double pénétration puissante, mon excitation grandissait.

Orchestrant le tout, Dimitri fit marquer une pause… L’amazone habilla de latex les trois gourdins nus. Puis elle retourna d’un pas félin vers mon ...