1. Blandine, l'innocence bafouée


    Datte: 10/03/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Humour Inceste / Tabou Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    ... avait basculé au sol pendant la messe, saboté par mes soins, alors que j’enregistrais le son. Blandine rougissait comme une tomate aux beaux jours. Je crois qu’elle aurait voulu s’enfoncer sous la terre. Elle respirait très fort. Mais elle ne pleurait plus. Elle n’avait plus de larmes. Sa situation était au-delà de tout ce que son esprit candide pouvait imaginer comme obscénité. Comme elle titubait, sonnée comme un boxeur vaincu sur le ring, de nouveau, je lui ai offert un café pour éviter qu’elle s’évanouisse. Puis j’ai récupéré le tampon, que j’ai gardé comme un trésor, un trésor d’obsédé sexuel de la dernière espèce.
    
    Le pubis de la jeune fille était muni d’un buisson brun magnifique, fin et duveteux au-dessus de la vulve, alors que les grandes lèvres étaient pratiquement imberbes. Ce corps était au-delà de nos espérances les plus folles.
    
    Pierre a recueilli quelques gouttes de sang menstruel dans le saint calice de l’eucharistie, les a mélangés à du vin de messe, et en a fait boire une gorgée à Blandine. Pas plus : il n’était pas question de l’enivrer alors qu’elle n’avait encore jamais bu d’alcool. Puis nous avons partagé ce qu’il restait. Les règles d’une vierge ont des pouvoirs surnaturels. Nous nous sentions déjà devenir immortels.
    
    Blandine se trémoussait sur une jambe, puis l’autre. Car ce breuvage, ajouté aux tasses de café, lui a donné une furieuse envie de faire pipi. Elle a demandé à se rendre aux toilettes. Pas question, lui a dit Pierre : qu’elle se ...
    ... soulage sur place. Cela lui était expressément permis. La fille perdait tout repère sur ce qui était autorisé ou non : c’était le but que nous recherchions. Elle a ouvert les vannes, sans même s’accroupir, et le flux urinaire s’est écoulé le long de ses jambes.
    
    En vraie maîtresse de cérémonie, Karine nous a ordonné, à Pierre et moi, de boire les liquides qui coulaient sur les pieds. Nous avons obtempéré, à genoux devant la belle. Les fluides féminins étaient délicieux. Blandine ne s’étonnait plus de rien, comme anesthésiée par sa prière. Chatouilleuse, elle riait alors que deux langues suçotaient ses petits petons blancs.
    
    À ce moment-là, elle se trouvait si vulnérable que nous aurions pu la dépuceler à ce moment-là, sur l’autel, sans rencontrer d’opposition. Mais cela serait revenu à brader notre victoire. Il fallait lui faire connaître ce qui allait survenir : l’acte sexuel dans toute son a****lité. Effacer toute l’imagerie romantique de son cerveau. Et pour cela, quoi de mieux que la pornographie ? Conformément à ce qui était prévu, j’ai donc substitué le bandeau qui recouvrait ses yeux par des lunettes de réalité virtuelle, et allongée nue sur l’autel, Blandine a été invitée à visionner, pendant une heure environ, toutes sortes de scènes de sexe cru, dans toutes les positions et avec des gros plans, hétéro, gay et lesbiennes, sans rien lui épargner afin qu’elle sache ce qui lui attendait lorsqu’elle allait être à son tour pénétrée. D’abord effrayée, elle a fini par ...
«12...789...31»