1. Blandine, l'innocence bafouée


    Datte: 10/03/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Humour Inceste / Tabou Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    ... Il n’avait d’ailleurs pas pu se retenir de se branler pendant le mea-culpa, bien à l’abri dans l’ombre, derrière le grillage du confessionnal. Son esprit tordu n’avait pas tardé à échafauder un plan machiavélique qu’il nous a exposé au cours de cette fameuse soirée. Un plan que Karine a complété avec des idées à elle – des idées aussi vicieuses que cochonnes - tout en excitant le phallus tendu de Pierre avec un pied et le mien avec l’autre. Nous lui avons arrosé les orteils presque en même temps, alors qu’elle s’enfonçait un godemiché dans le vagin, des boules de Geisha dans l’anus, et qu’elle s’appliquait un puissant vibromasseur sur le clitoris. Ce qui non seulement ne l’empêchait pas de parler, mais stimulait son imagination démoniaque afin d’abuser de l’innocence de la jolie Blandine.
    
    Un petit problème nous a forcés à attendre deux mois avant de passer à l’action : la belle n’avait que dix-sept ans au moment de sa confession, et nous ne tenions pas à nous retrouver en prison. Une fois la majorité atteinte, l’obstacle était levé. Pendant ce délai, nous tremblions qu’un garçon – ou une autre fille – vienne gâcher notre projet. Heureusement, il n’en fut rien. Les rigueurs du pensionnat, la perspective du baccalauréat qui approchait, l’esprit studieux et soumis à la discipline de fer de Blandine ont contribué à notre succès.
    
    La maman de Blandine s’appelait Léa. Elle n’avait que trente-sept ans, ayant conçu sa fille unique très jeune. Veuve depuis dix ans, elle ...
    ... menait son petit foyer avec courage, avec son salaire de caissière de supermarché. Elle voulait offrir à son enfant de coûteuses études de commerce, et pour cela, elle économisait jusqu’à jeûner certains jours pendant le Carême. Car elle était une catholique intransigeante et parfaitement assidue à la messe dominicale. C’est là que Pierre est entré en action : le point délicat de l’affaire.
    
    Notre couple avait de l’argent, beaucoup d’argent, qui provenait d’un bel héritage de Karine, au point de ne pas avoir besoin de travailler. Nous vivions dans l’abondance de biens matériels, le stupre et la paresse. Il nous fallait bien quelqu’un comme Blandine pour tromper notre ennui. Payer Léa pour qu’elle nous laisse profiter de sa fille, soit. Mais lui donner une grosse somme eût été peu excitant. Non que nous fussions avares – bien au contraire, pour nos loisirs et nos plaisirs, nous dépensions sans compter – mais la générosité, comme l’altruisme, étaient des qualités que nous réprouvions, en tant qu’adeptes du vice. Nous avions donc demandé à Pierre de négocier durement. Le montant s’est limité à 483 euros ; encore heureux qu’il n’eût pas des centimes après deux heures de marchandage. C’était le prix de l’innocence d’une jolie et pure Blandine. Tout ceci était odieux et, pour cette raison, nous excitait follement. Chaque nuit, dans la moiteur du lit conjugal dans lequel Pierre venait parfois se mêler, nous peaufinions notre plan, y ajoutant des détails diaboliques.
    
    En revanche, ...
«1234...31»