Blandine, l'innocence bafouée
Datte: 10/03/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Humour
Inceste / Tabou
Auteur: scribouillard, Source: xHamster
... de Blandine, et aussi sur les bottes de ma femme que la demoiselle a été priée de lécher afin d’en faire disparaître les traces de suc masculin.
Jour 7
— Viens, Léa, a ordonné Karine
Léa s’est avancée, inquiète. Bien que son intégrité physique ait été préservée, des courbatures lui rappelaient les tourments qu’elle avait subis l’avant-veille.
— Serais-tu prête à torturer ta fille comme tu l’as été ?
— Jamais !
— Même pour vingt mille euros ?
— Vingt… vingt mille, a dit Léa éberluée !
Karine a sorti les liasses de son sac à main.
— Elle a raison : le sacrement du pardon est plus efficace lorsque la mère l’inflige à son enfant, a dit Pierre.
— Vous voulez que je torture ma propre fille ! C’est fou ! Mais tout cet argent !
Blandine s’est mise à genoux et a supplié sa mère.
— Maman, c’est important pour moi d’être pardonnée de mon péché de mas… comment dit-on, déjà ?
— De masturbation, ai-je complété.
— S’il te plait, Maman, accepte cette proposition ! Qu’importe l’argent : c’est Dieu qui compte en premier, et je veux aller au paradis et non pas en enfer. D’ailleurs, je suis jeune et forte, et je peux tout subir, y compris le pire.
— Ma pauvre Blandine, si tu savais ce à quoi tu es en train de t’engager. Il n’y a pas de mot : c’est épouvantable !
Karine est passé derrière Léa et lui a soufflé à l’oreille :
— Allons, ma belle, je suis sûre que tu prendras beaucoup de plaisir à t’occuper de ta fille, comme j’en ai eu avec toi… ce ...
... fut un moment délicieux, tu sais. Oh, comme tu criais bien ! Et tu verras : je saurai te stimuler pendant l’action, et tu jouiras comme jamais. Qu’en penses-tu ? Te laisseras-tu tenter, ou dois-je… brûler ces billets ? Je ne bluffe pas, tu sais.
Elle était prête à consumer les vingt mille euros à la flamme du cierge pascal. Déjà, un billet de cinquante était parti en fumée. On aurait dit que les yeux sortaient de la tête de Léa. Quand on parle de blasphème, dans une société où l’argent tient lieu de divinité suprême, il n’en est pas de pire. Léa a fait un « oui » timide de la tête, incapable de prononcer les mots qui annonçaient son acceptation à enfreindre le tabou le plus puissant : torturer son propre enfant !
Blandice s’est couchée sur l’autel, et laissée attacher, non seulement sans opposer la moindre résistance, mais avec beaucoup de joie. Nous lui avons retiré son bandeau, ce qui a mis fin à la mascarade du public imaginaire, car nous nous doutions que cette personne intelligente n’y croyait plus. Le spectacle du croisement des regards de la mère et de la fille au moment où les pires sévices allaient être commis était bien plus intéressant, de même que les beaux yeux clairs de la demoiselle entravée sur la table sacrée.
La jeune fille a pu constater que Karine était étrangement vêtue : une combinaison de plastique rouge vif qui la recouvrait des genoux jusqu’au cou, des gants noirs et de longues bottes de cuir de la même couleur. Pour ma part, j’étais revêtu ...