Blandine, l'innocence bafouée
Datte: 10/03/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Humour
Inceste / Tabou
Auteur: scribouillard, Source: xHamster
... avilissement soit ma croix, puisque le Tout-Puissant en a décidé ainsi.
— Veux-tu la douleur aussi, a proposé Karine ?
— Oh oui, Madame, cent fois oui ! Pour hâter ma sanctification, il vous faut être impitoyable envers moi.
— N’aie crainte, ma petite, je le serais… au-delà même de tes espérances !
— Courage, Blandine, a renchéri Pierre tout en tenant son énorme verge complètement bandée à pleine mains : n’oublie pas que Dieu te regarde et qu’Il te soutient de tout son amour.
Karine a éclaté du rire mauvais que je lui connaissais bien. Puis elle a pris entre ses main le lourd cierge pascal, et a renversé de la cire brûlante sur les seins de Blandine qui a aussitôt crié de douleur, en secouant sa tête de gauche et de droite. Pendant ce temps, je pelotais la chatte de ma femme, en glissant une main sous ses vêtements. Ensuite, sans que cesse cette implacable pluie de liquide surchauffé sur l’épiderme de la pauvre Blandine, Pierre est passé derrière notre tortionnaire et l’a enculée d’un seul coup de reins. Face au masochisme catholique dans toute sa splendeur, Karine a joui d’un orgasme sadique. Elle ne pratique jamais si bien la torture érotique que lorsqu’on la pénètre.
À midi, nous avons invité Blandine et sa mère au restaurant. Pierre était également présent. La jeune fille était vêtue d’une élégante robe noire, très sexy car assez transparente, ce qui devait la changer des tenues trop sages qu’elle portait habituellement. Karine lui avait donné cette ...
... robe. Des hommes regardaient discrètement la demoiselle, éblouis par sa beauté.
— Je dois tous vous remercier, a annoncé Blandine alors que nous trinquions au champagne. Grâce à vous, je me sens mieux, en paix avec moi-même. Les démons de la luxure ont cessé de me poursuivre.
— Merci, Blandine, mais ton cheminement n’est pas terminé, a objecté Pierre.
— Quelle que soit la dureté des épreuves, je le poursuivrai jusqu’à son terme.
Assise en face de la jeune fille, Karine a retiré une chaussure et glisse son pied entre les cuisses de notre invitée, qui a tressailli sous ce geste inattendu.
— C’est bien, Blandine : tu ne portes pas de culotte, comme je te l’ai ordonné. Écarte un peu plus les jambes, je te prie. Voilà, c’est bien. Tu aimes ce que je te fais ?
— Allez-vous me conduire à… comment dit-on, déjà ?
— L’orgasme. Tu es une personne très douée pour l’attendre, tu sais. Ton sexe est incroyablement sensible aux attouchements. J’aimerais être comme toi.
— J’ai l’impression que tous les hommes autour de nous me regardent. Je ne pourrai pas rester impassible plus longtemps.
— Il ne faudra bien, pourtant. Sinon, regarde ce qu’il pourrait bien t’arriver.
Il faut dire que nous nous trouvions dans un restaurant libertin, où toutes les fantaisies sexuelles étaient permises. Le disc-jockey a mis la musique, tonitruante. Un couple est monté sur la scène. Nous les connaissions : Arnaud et Muriel, des habitués, la quarantaine. Puis Muriel s’est déshabillée, et ...