1. Miss Libertine


    Datte: 08/03/2020, Catégories: fh, grosseins, amour, volupté, Oral pénétratio, champagne, mélo, Auteur: Isitlove, Source: Revebebe

    ... se frotter contre moi, les seins bien en avant, en collant ses lèvres sur ma joue et les laissant glisser jusqu’à mon cou.
    
    Une fois dans la voiture, elle inclina son siège en arrière et se prélassa dans une pose lascive et terriblement sensuelle. Elle continua à déconner en me racontant des histoires de cul ou me posant toute sorte de questions sur mes ex. À un moment, elle posa sa main sur ma cuisse et comme elle sentit que j’étais excité, elle me demanda ouvertement s’il m’arrivait de me masturber en pensant à elle. Devant mon silence gêné, elle se reprit, mais la trêve ne fut que de courte durée, car elle renchérit en me demandant de lui décrire ce qu’on faisait dans mes fantasmes. Là aussi je ne répondis rien, me contentant de pousser un bref soupir, excédé.
    
    Puis, d’une voix plus sage, elle me demanda si je l’avais vraiment aimée, et si c’était encore le cas.
    
    Croyant la faire taire, je lui répondis qu’elle connaissait la réponse, mais elle voulut des précisions. Assez joué, j’en avais marre ! De rage, et sans quitter la route des yeux, je lui dis franchement ce que j’avais sur le cœur depuis longtemps : que je l’aimais comme un fou et à quel point elle m’avait fait mal. Non pas parce qu’elle m’avait rejeté, mais sur la façon dont elle l’avait fait.
    
    Plus un mot. Après un bref moment de réflexion, elle tourna la tête vers l’extérieur. Je la voyais dans le reflet de la vitre; elle se pinçait les lèvres, ses yeux brillaient et elle battait rapidement des ...
    ... paupières pour retenir ses larmes, mais ses reniflements la trahissaient : elle pleurait.
    
    Comme je n’osais pas la ramener dans cet état chez ses parents (saoule et en pleurs, qu’est-ce qu’ils auraient imaginé !?) je pensai - en tout bien tout honneur - la faire dormir chez moi. Je la fis marcher jusqu’à la chambre et s’asseoir sur le lit.
    
    Alors que j’allais la laisser et pour aller dormir sur le canapé, elle posa ses bras sur mes épaules et, en me fixant droit dans les yeux, le regard encore humide elle me dit :
    
    — M’abandonne pas, pardonne-moi.
    
    Je lui répondis seulement :
    
    — Je serai pas loin, sur le sofa, dans la chambre à côté. Allez, dors maintenant, ajoutai-je.
    
    Et je voulus lui glisser un innocent bisou sur la joue. À ce moment, elle croisa ses bras derrière ma nuque et tourna la tête dans ma direction pour me voler un baiser.
    
    Je sentis sa langue se faufiler doucement et timidement dans ma bouche à la recherche de la mienne.
    
    C’en était trop pour moi; je la voulais depuis toujours. Saoule ou pas, j’avais envie d’elle. Elle ne me laisserait jamais d’autre occasion et je le savais. Je me suis alors doucement couché sur elle.
    
    Je participai alors de tout mon cœur. Nos langues se cherchaient, se trouvaient, s’effleuraient, se frottaient, dansaient ensemble. Sa salive était tiède et sucrée. Je lui pinçai doucement la lèvre inférieure, elle adorait. Je m’amusais parfois à éloigner mon visage du sien, elle appuyait de toutes ses forces sur ma nuque pour me faire ...
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