Miss Libertine
Datte: 08/03/2020,
Catégories:
fh,
grosseins,
amour,
volupté,
Oral
pénétratio,
champagne,
mélo,
Auteur: Isitlove, Source: Revebebe
Nous nous étions rencontrés dans un bar à café. Elle était – hélas - accompagnée de son copain, mais dès que je l’ai vue, j’en ai eu envie.
Ronde et jolie.
Elle n’avait pas les mensurations d’un mannequin. Pas obèse, ni même grosse ; à peine enveloppée. Juste quelques kilos en trop, mais qui lui allaient tellement bien. De belles fesses rondes, des cuisses massives, une taille qui inspirait tendresse, chaleur, sensualité et volupté. Elle dégageait un charme fou.
Un visage rond, plaisant, toujours très légèrement maquillée, de magnifiques yeux verts coquins surmontés de sourcils finement taillés. Des cheveux blonds qui lui arrivaient aux épaules, la plupart du temps teints en noir, et surtout… une poitrine très imposante qu’elle n’hésitait pas à bien mettre en valeur avec de profonds décolletés. À sa façon de rebondir lorsqu’elle bougeait, cette dernière avait l’air à la fois bien ferme, mais moelleuse et surtout très douce.
La plupart du temps nous sortions en bande. J’avais appris à mes dépens que la moindre caresse - pire, la moindre touchette quelle qu’elle soit - des pieds à la tête, faisait instantanément monter le désir en elle. C’était un sujet de rigolade ; nous disions que c’était une zone érogène à elle toute seule, et à chaque fois la belle piquait un fard.
Nous nous en étions rendu compte un jour, alors que j’avais effleuré son genou de ma main. Elle la repoussa tout de suite en poussant un petit cri bref et sec, de la même manière que si je lui ...
... avais franchement tâté les seins ou pincé les fesses. Une de ses copines lança alors :
— Encore une fois et elle fait une flaque !
Tout le monde était mort de rire, sauf Charline qui ne savait plus où se mettre.
De plus, la pauvre ne supportait pas l’alcool ; deux verres seulement l’enivraient !
J’aurais pu maintes fois profiter de ce point faible : la faire boire pour obtenir une vulgaire baise; d’autant que, à l’entendre parler, elle n’était pas la dernière en matière de sexe. Mais ma stupide conscience me l’interdisait. Je la voulais à tout prix, certes, mais je voulais qu’elle s’offre à moi. Eh oui, j’étais comme ça, de la vieille école comme on dit. Quel con !
Lorsque son mec la quitta, elle se tourna vers moi pour que je lui remonte le moral. Nous avions déjà flirté par sms, mais sans plus.
Je lui avais fait part un soir de mes sentiments pour elle, mais ce n’était malheureusement pas réciproque. Je n’étais pas assez bien pour elle.
Oh certes, elle ne me l’a pas dit aussi franchement, mais elle me l’a fait comprendre avec une excuse à deux balles, typiquement féminine, le genre de prétexte qui ne tient pas la route une seconde. Comme quoi, les femmes aussi, ne pensent qu’au physique…
Sur le coup, je décidai de ne plus la voir.
Quelques mois s’écoulèrent durant lesquels on se perdit de vue. Durant ce temps j’avais suivi un régime et perdu 25 kilos. Puis, au hasard d’une matinée, on se rencontra là où je buvais mon café habituellement. C’était un ...