1. Les leçons de math


    Datte: 07/03/2020, Catégories: fh, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, Auteur: Cidoup, Source: Revebebe

    ... lui faut pour montrer ses progrès à Geneviève, pense-t-il en la suivant la serviette sous le bras. Francine hausse les épaules l’air de dire "si cela vous fait plaisir de la trimbaler… " et le précède dans l’escalier. Sur le palier, elle désigne une porte :
    
    — C’est là. On vous attend.
    — Je vous verrai en partant ?
    — Sûrement pas !
    
    Elle dévale les marches sans se retourner. Jean un peu intrigué par sa brusquerie, frappe à la porte et entre sur l’invitation. Madame Clément est assise sur une bergère à deux places. Elle est vêtue d’un déshabillé que Jean croit reconnaître.
    
    — Ah ! C’est vous Jean ? Vous permettez que je vous appelle Jean, n’est-ce pas ?
    — Euh… Oui… oui Madame.
    — Non ! Pas de madame entre nous, appelez-moi par mon prénom, Geneviève.
    — Oui mad… pardon, Geneviève.
    — C’est ça. Asseyez-vous et débarrassez-vous de votre porte-documents, vous n’en avez pas besoin.
    
    Ce que lui avait dit Francine ! De quoi veut-elle parler alors ? Il regarde autour de lui. Il n’y a pas de guéridon pour poser ses affaires.
    
    — Posez-le sur la commode.
    
    Il libère une place en repoussant les pots de crème. Hors la bergère, il n’y a pas de siège. Veut-elle qu’il s’assoie sur le lit ? Geneviève tapote le tissu de son siège.
    
    — Installez-vous à côté de moi.
    
    Jean obéit, bien droit, les genoux serrés.
    
    — Voulez-vous que je vous informe des progrès de votre belle-fille ?
    
    Il trouve plus élégant de dire belle-fille que belle petite-fille.
    
    — Laissons cela, mon mari ...
    ... s’en occupe. Parlez-moi plutôt de vous. De nous, devrai-je dire.
    
    Le garçon est sur des charbons ardents. Geneviève fait allusion aux séances de caresses réciproques. Il n’ose pas regarder sa voisine et examine la pièce du regard.
    
    — Vous… Zut ! Je te tutoie, tu veux bien ?
    
    Sans attendre la réponse, elle continue :
    
    — Tu reconnais ?
    
    Jean rougit. Oui, il reconnaît, les rideaux, le papier aux murs, le lit, la lampe de chevet devant laquelle Geneviève danse en contre jour, la chaise. La chaise ?
    
    — Où est la chaise ?
    — Ah ! Tu as remarqué ! Ne t’en fais pas, elle est à coté.
    
    Elle l’a enlevé pour l’obliger à s’asseoir à ses cotés, pense-t-il. Il réalise ce que vient de dire la jeune femme. Pourquoi ne doit-il pas s’en faire ? Ah, oui ! Elle a l’intention de continuer les spectacles nocturnes ! Tout cela ne lui dit pas la raison de sa présence en ces lieux. Aurait-elle l’intention de… Même en son for intérieur, Jean n’ose formuler sa pensée. Il pose les yeux sur sa voisine, tout proche. De près le déshabillé est moins transparent que dans son souvenir. Il la devine nue dessous. Ah ! Toucher ce corps qu’il connaît aussi bien que s’ils étaient amants, devant lequel il se dévêt presque chaque soir ! Le désir, un désir impérieux s’empare de son ventre et déforme son pantalon. Il n’ose remettre en place le sexe qui le gêne. Geneviève le nargue d’un sourire moqueur. Il rougit. Elle se rend compte de son trouble et en devine la cause. Il s’avise alors que les pans du ...
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