1. Dans la villa


    Datte: 02/03/2020, Catégories: fh, amour, fdanus, fsodo, hdanus, hgode, init, fsodoh, Auteur: Eroslibré, Source: Revebebe

    ... définitivement. C’est un cratère soyeux et humide qui se présente à moi. Je concentre tous mes efforts sur cette ouverture dont j’achève l’élargissement. Ma langue s’enfonce de plus en plus profondément dans cette caverne sombre dont l’exploration m’excite intensément.
    
    Mais même si elle se révèle précise et coquine à souhait, elle ne parviendra pas à aller très loin dans son œillet. Mon visage restera bloqué au creux de sa raie pourtant démesurément écartelée. Il faut que j’emploie un autre instrument afin de parachever ma conquête. J’approche un doigt de son anus après avoir contemplé le résultat de mes assauts préparatoires. Un orifice, aussi gros qu’une pièce de monnaie, s’est fait jour. Bien que sombre, c’est une merveille de perfection charnelle d’un arrondi parfait. Ainsi découvert, ainsi dessiné il m’oblige à poursuivre. J’engage donc mon doigt. Je n’ai pas besoin de forcer pour l’enfoncer, il est promptement avalé et il s’active ardemment sur la paroi de ce cône. Quelle sensation ! Quel bonheur ! Quelle magie ! Une danse merveilleuse débute, s’amplifie, se multiplie. Le corps de Catherine entre dans une transe voluptueuse, tout s’anime en elle et je tente de suivre les moindres perceptions que je ressens du plaisir qui enfle en elle.
    
    J’ai comme l’impression de me glisser, de me fondre dans un étui à la contexture à la fois souple et ferme, chaque millimètre parcouru produit une sorte de court circuit qui par contrecoup électrise et enflamme la chair de son ...
    ... conduit portée à incandescence. Tout son dos, de sa nuque à ses cuisses, se met à osciller doucement, à onduler, à tanguer, à divaguer, assailli par l’ivresse d’un plaisir qui s’intensifie et l’enveloppe. Il gagne en puissance et en ampleur à chacune de mes poussées. Ainsi émoustillée elle s’ouvre encore plus, je glisse alors un autre doigt, puis un troisième. Elle les engloutit espérant être rassasiée.
    
    Catherine attrape soudainement mon autre main et la plaque contre sa vulve déjà toute spongieuse même si je ne l’ai pas encore visitée. Mes doigts, toujours aussi curieux et pressés de se montrer actifs, se placent les uns sur son clitoris, les autres à l’entrée de son vagin qu’ils investissent aussitôt. Ils l’élargissent, ils s’y introduisent, ils s’en rendent très rapidement maîtres, décuplant l’émoi sensuel de Catherine.
    
    Tout s’accélère et nous sommes emportés dans une voluptueuse extase érotique. Tout comme moi tout à l’heure avec l’objet, c’est elle, ce sont ses cavités enflammées, exigeantes, au bout de l’impatience, qui me mangent, m’aspirent, me digèrent. Parfois elles me rejettent, elles se contractent durement, mais ce n’est que pour mieux me reprendre. Rapidement, je suis déjà trop loin en elles et elles ne peuvent plus m’expulser. Une nouvelle contraction écrase presque mes doigts dans son anus qui se transforme en un étau puissant. Pourtant ils continuent de progresser, mus par une force mystérieuse, envoûtante, entêtante. Catherine s’agite dans tous les sens, ...