Dans la villa
Datte: 02/03/2020,
Catégories:
fh,
amour,
fdanus,
fsodo,
hdanus,
hgode,
init,
fsodoh,
Auteur: Eroslibré, Source: Revebebe
... godemichet impressionnant, elle serait déjà en moi à me pourfendre délicieusement. Le feu qui me dévorait s’active à nouveau. J’éprouve à la fois une blessure violente, une déchirure, un percement de mes entrailles et un manque comme si quelque chose d’essentiel venait soudainement de disparaître, provoquant en moi une frustration. J’ai envie de lui crier, introduisez-le encore, mais le plus lentement possible que je puisse suivre sa progression, son invasion qui me fait vibrer si fort de toute part.
— Je vous devine, vous en voulez encore. Vous ne vous résignez pas ! C’est si bon, si intense, si charnel, un plaisir qu’il est difficile d’oublier. Vous êtes si dilaté que mes doigts plongent en vous sans que rien ne les arrête. Ils sont trois, quatre maintenant et votre corps ne proteste toujours pas. Vous en voulez plus. Ma main peut-être ! Mais vous risquez de me la manger ! Vous avalez tout si goulûment. Je laisse le soin à mon objet de vous satisfaire.
Est-il de nouveau en moi, je ne le ressens pas ! Comment se fait-il que je me sois aussi facilement ouvert ? Je le devine enfin, lointain encore, il n’est pas au contact des parois de ma cavité. Il coulisse de plus en plus rapidement et mon conduit échauffé se resserre peu à peu. Il enveloppe l’intrus, le comprime, l’enferme inexorablement au creux de ses anneaux. Il ne veut pas le retenir brutalement, le bloquer durement en me faisant mal, ce qu’il souhaite c’est l’épouser, faire corps avec lui et comme une ventouse ...
... l’engloutir, le maintenir prisonnier afin qu’il me procure un plaisir sans fin. J’ai comme l’impression qu’il est déjà au milieu de mon ventre et qu’il peut poursuivre son va-et-vient entêtant et diabolique jusqu’à ma poitrine. Je râle, mes jambes fléchissent, j’ai peur de m’affaisser, brisé, rompu par une force intérieure, mélange d’extase pure et de douleur intolérable.
Tout s’arrête sans que je comprenne trop pourquoi. Je tangue ainsi durant de longues secondes, je lutte pour ne pas m’effondrer et me recroqueviller au sol, je tente de protéger mon anus incendié d’un plaisir inconnu et phénoménal qui emporte tout. Je me cabre, je me cambre, je frissonne, je secoue tout mon corps, une chaleur intense irradie mes fesses, mon ventre et mes reins. Je vais crier pour exprimer ce bonheur physique intense.
Catherine ne guide plus l’objet, il est en moi et cette fois je le retiens. Elle se place devant moi et dépose un baiser léger sur ma bouche sèche. Elle saisit avec vigueur mon sexe, je l’avais oublié tant je me consumais ailleurs.
— Vous avez vu comme il est volumineux ! Et votre gland ! Je ne l’ai jamais vu aussi gros et gorgé. Je le croquerai avec envie, je mordrai dedans gourmande et impatiente. Je veux le pomper, le boire, l’assécher qu’il ne reste plus le moindre soupçon de semence en lui et qu’enfin il se rende, flasque, épuisé. Mais je le réserve pour autre chose que moi aussi je connais à peine.
Elle se tourne alors et ne prête plus aucune attention à mon ...