Banquière perverse (24)
Datte: 02/03/2020,
Catégories:
Divers,
Auteur: Pikatchu, Source: Xstory
... mieux.
— Quelle taille ? demande Gladice.— 14/16 ans, suivant la marque.— Tiens va essayer ça ! Tu viens Issam voir ce que cela donne.
Je me précipite, car connaissant ma chérie, je pense que la petite Sophie va se retrouver à poil dans la cabine d’essayage.
— Allez entre là-dedans et enfile tout ça !— Tu fermes le rideau.— Non !— Mais tu es folle, on va me voir !— Justement ! Et on ne peut pas entrer à trois dans la cabine ! Allez, ne fais pas ta mijaurée et cela va te faire un petit entraînement pour les spectacles ; non ?— Tu as raison…
La raison l’emporte et la belle, d’un geste vif, passe sa robe par-dessus sa tête et se retrouve entièrement nue dans la cabine, au risque d’être vue par tous à cause du rideau resté grand ouvert.
— Caresse-toi ! lui souffle ma Chérie.
Sophie reste sans voix, et malgré le rouge qui lui monte jusqu’aux oreilles, elle se caresse les seins et le pubis jusqu’au moment où, cramponnée au portemanteau de la cabine ; elle subit les assauts d’un orgasme qui vu son comportement semble violent.
— Bon, tu as fini ? Alors essaye ça au lieu de t’envoyer en l’air, et devant tout le monde, lui chuchote Gladice.
— Oui, oh la vache ! C’est terrible ça !
Tous les vêtements lui vont à merveille et après avoir choisi quelques accessoires comme un cartable d’école, un cahier que fera office de carnet de notes ; nous passons en caisse sans oublier quelques babioles au passage. La caissière s’adresse à Gladice :
— Très jolie pour ...
... son âge, Madame ; votre fille est très belle. Ça vous fera quatre-vingt-cinq euros et quatre-vingt-dix-neuf centimes.— Madame, c’est moi qui paie, Madame !— Mais vous avez une carte bleue !...— Oui et vingt-deux ans aussi, Madame !
Bien évidemment nous éclatons de rire devant le désarroi de la caissière. Nous ne repartons pas immédiatement car je propose de manger au snack du magasin. C’est dans un petit coin tranquille de la salle que nous nous installons et mangeons, tout en discutant de notre projet de pièce de théâtre. Alors que nous sommes en plein débat, Sophie nous lance :
— Vous savez, je voudrais connaître et vivre plein de trucs !— Des trucs de quoi ? interroge Gladice.
— Bah ! Des trucs de cul, pardi ! Vous en faites sûrement, et ça m’étonnerait que vous fassiez l’amour comme des vieux, à la missionnaire !— Mais tu as envie de quoi au juste ?— Je ne sais pas, de l’imprévu comme tout à l’heure dans la cabine ; j’ai eu un orgasme terrible.— Ah ! …On n’avait pas remarqué ! N’est-ce pas chéri ?— Moi je ne me suis aperçu de rien, je n’ai d’ailleurs rien vu non plus !— Menteur ! rétorque Sophie. Bon, vous allez m’en faire, même si ça fait un peu mal…— D’accord, on va t’attacher, te bâillonner, te menotter, te fouetter, t’exploser le trou du cul, te pincer les tétés, te fesser…— Oh oui, oh oui ! Vite on rentre alors !— D’accord…
Nous récupérons la voiture, les filles montent à l’arrière, et je nous conduis vers la maison ; mais dans le rétroviseur j’aperçois ...