1. Banquière perverse (24)


    Datte: 02/03/2020, Catégories: Divers, Auteur: Pikatchu, Source: Xstory

    Rappel du chapitre précédent.
    
    Les sévices que Gladice avait subis ne sont plus qu’un mauvais souvenir. Lacksimy partit aux USA pour se faire soigner, et sa mère la suivit le lendemain. Son but était de rencontrer son ex-mari qui avait la possibilité de faire soigner sa fille, de soutenir sa fille dans ces moments difficiles, et lui apporter le maximum d’affaires. Gladice et Issam se retrouvèrent seuls et décidèrent d’inviter la petite Sophie pour se livrer à des jeux d’adultes, dans le genre plan cul !
    
    — ooOoo —
    
    La nuit fut excellente, et comme me l’a demandé ma chérie, je la réveille avec une rapide caresse et une douce pénétration vaginale. L’effet escompté est là, elle ouvre les yeux ; ils pétillent de bonheur. Elle me saisit la tête, l’attire vers elle et m’embrasse avec fougue tout en laissant échapper de doux gémissements de bonheur. Elle se tortille sous mes coups de boutoir puis, dans un geste rapide, elle me repousse en m’obligeant à sortir d’elle.
    
    — Je t’adore mon chéri, et je viens d’avoir une magnifique idée.— Ah !— Oui, je viens de penser qu’au lieu que ce soit toi qui me prennes tous les matins ; il serait bien que le premier réveillé s’occupe de l’autre de la façon qu’il veut ; qu’en penses-tu monAmour ?— Ah, oui … ! J’approuve à cent pour cent !— Alors laisse-moi faire ! me dit-elle et rajoute en chuchotant, comme si les murs allaient répéter …Ce matin j’ai envie que tu m’encules !
    
    Elle n’a fini sa phrase qu’elle s’empalée sur mon dard, et ...
    ... s’agite dans un mouvement de va-et-vient rapide. Ce qui en peu de temps fait monter en moi la pression, sans doute à cause de l’étroitesse de son conduit, et m’emmène vers une éjaculation puissante et extrêmement jouissive.
    
    Je termine tout juste de prendre une douche, qu’on sonne déjà au portail de la maison. Je me précipite vers la fenêtre et après avoir reconnu Sophie, trépignant d’impatience sous une pluie battante ; j’appuie sur le bouton de l’interphone et sur celui de la gâche électrique en lui criant :
    
    — Entre et viens vite te mettre à l’abri !
    
    Elle se précipite, je la fais entrer et découvre avec Gladice, qui vient de me rejoindre, une Sophie trempée jusqu’aux os.
    
    Elle est là devant nous, essoufflée et dégoulinante d’eau, tout comme le sachet de croissants qu’elle tient à la main qu’elle tend avec un air de désolation. Mais le plus beau est qu’à cause de cette pluie orageuse, sa robe blanche est devenue totalement transparente et que dessous …elle est entièrement nue !
    
    — Bonjour, Sophie ; ça va ? demande Gladice.
    
    — Bonjour ! Ouh là là …! Quelle histoire !— Bah…Que t’arrive-t-il ? Tu es toute trempée ! Tu t’es fait agresser, peloter … ? questionne en riant Gladice.
    
    — Ah… ! J’aurais bien aimé, mais non, c’est à cause de vous !— Ah bon ! Et pourquoi, je te prie ?— Bah ! Il n’y a qu’ici qu’il pleut comme ça ! Quand je suis partie de chez moi il faisait beau. Et puis depuis que vous m’avez appelée hier je ne vis plus. Je ne m’y attendais pas, j’suis ...
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