1. Banquière perverse (24)


    Datte: 02/03/2020, Catégories: Divers, Auteur: Pikatchu, Source: Xstory

    ... peloter copieusement.
    
    Les voir se « gouiner » me met dans un état d’excitation incroyable. Comme Sophie est petite, elle s’est accrochée au cou de ma Chérie ; enroulée comme un singe autour de la taille belle de ma belle. Elles s’embrassent à bouche-que-veux-tu, elles se caressent, se malaxent les seins ; et mon chibre grossit de plus en plus.
    
    — Oh les filles ! Quand vous aurez fini de vous bouffer le museau ; peut-être que nous pourrions déjeuner !— Bon OK ! On arrive ! s’exclame ma Gladice.
    
    Le temps de tout préparer et enfin elles arrivent, j’ai le plaisir de découvrir deux naïades au corps parfait ; elles ont pris le temps de se sécher les cheveux. Le désordre volontaire de leur « coiffé décoiffé » comme elles disent augmente cette sensation de femme fatale sans compter sur l’air fripon qu’elles arborent ouvertement avec un petit côté provocateur. Je suis en train de craquer pour le physique si fin de Sophie. Gladice la dépasse d’une bonne tête, mais est aussi charmante... Bref ! Elles sont belles et radieuses.
    
    Sophie ressemble vraiment à une gamine de quinze ou seize ans avec ses petits seins et son pubis parfaitement lisse. Imaginez-vous en présence de deux filles, nues, les cheveux hirsutes et le regard provocateur ; que feriez-vous ? Vous seriez tout comme moi en ce moment : avec une puissante érection, et l’envie de croquer ces deux coquines en même temps.
    
    — Ah, enfin ! je m’exclame... Je pensais vous attendre jusqu’à midi !— Nous nous faisions belles, ...
    ... juste pour toi ; ça te va comme réponse ?— Vous êtes parfaites, allez ! On déjeune ?— Oui, j’ai faim ! reprend Sophie.
    
    — Alors à table !
    
    Par galanterie, je fais le service car je dois les chouchouter. Maintenant nous pouvons manger, et notre hôte rompt le silence :
    
    — Il faut que je vous raconte ce qu’il m’est arrivé en venant ici, et vous allez voir que quand j’ai la guigne, et c’n’est pas de la rigolade.— À ce point ! dit Gladice.
    
    — Oui ! Écoutez-moi : tout d’abord, quand vous m’avez appelée je vous avais dit savoir où habitait Madame, enfin votre patronne !— Oui, et ?— Bah, en fait, comme je ne suis venue ici qu’une fois, en réalité ; je ne me rappelais plus où c’était. Alors pour ne pas passer pour une cruche, j’ai appelé Anne qui m’a tout expliqué ; j’ai tout bien marqué sur un papier…— Et tu l’as paumé ?— Mais non ! Attendez, vous allez voir !— OK ! On t’écoute…— Alors voilà : en me préparant ce matin, j’étais tellement excitée que j’en ai oublié de mettre un soutif et une culotte. Je ne m’en suis aperçu que quand j’étais dans le RER, et il était bien entendu trop tard ! Alors j’ai pensé : qu’il ne faudrait pas qu’il y ait de coup de vent et tout ira bien ; c’est tout ! ».
    
    Elle fait une pose, le temps de boire un peu de café et reprend.
    
    — À l’aide de mes notes, le plus facile était de prendre le RER puis le métro. Mais alors que j’arrivais devant la gare, je me suis aperçu que j’avais oublié mon porte-monnaie et je n’avais pas de sous avec moi ; alors ...
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