1. Le sport a deux avantages... euh, non, trois !


    Datte: 29/02/2020, Catégories: fh, fbi, fplusag, jeunes, inconnu, grosseins, nopéné, init, Humour prememois, Auteur: Izomy, Source: Revebebe

    ... hanches fait rouler ses magnifiques fesses l’une contre l’autre. Je crois que je pourrais rester des heures devant une vidéo qui passerait en boucle l’incroyable balai de son cul roulant et roulant encore et encore…
    
    Alors qu’elle se baisse pour ramasser son vélo et voyant que sa position fait ressortir ses fesses, elle se tourne vers moi, fait une discrète moue réprobatrice et rajuste sa veste pour recouvrir son si joli derrière.
    
    Je suis vraiment pas discret, bordel ! Son corps de rêve me trouble à un point rarement atteint, ma tête a toujours deux longueurs de retard à chaque fois qu’elle s’adresse à moi. Tout ceci accentue le décalage entre elle et moi, je passe de plus en plus pour un ado attardé…
    
    — On y va ?
    — Hein… ? fais-je de ma plus belle voix.
    — On ne dit pas « hein » mais « comment », et j’ai dit « on y va ? »…
    — Euh oui oui ! bien sûr !
    
    Et nous voilà partis, moi une main sur l’épaule de ma doctoresse pour soulager ma jambe qui me fait quelque peu souffrir, et elle une main dans mon dos pour me tenir, pour ne pas que je tombe. Elle n’est pas très à l’aise avec moi et moi non plus avec elle, je suis trop mal fagoté pour être en présence d’une si belle femme. Du coup je regarde partout, mais surtout pas en sa direction…
    
    Effectivement quand elle dit cinq minutes, c’est cinq minutes. Nous sommes à peine sortis du bois que déjà elle sort des clés de la poche de sa veste. Tant mieux parce que je commence vraiment à fatiguer, je sens des ...
    ... débuts de crampes arriver.
    
    Le cabinet de la doctoresse doit bien marcher car nous nous engageons dans un petit immeuble haussmannien bordant le bois, ça doit pas être donné. Son appartement se situe au dernier étage. C’est fermé à double tour ; réflexion teintée d’énervement de la part d’Amélie, plus pour elle-même que pour moi :
    
    — Et l’autre qui n’est pas encore rentré.
    
    Bon, ma docteure a un mec, en même temps qu’est-ce que je m’imaginais ? Une beauté pareille célibataire ? Et puis quand bien même ! Qu’est-ce que ça aurait changé ? C’est pas comme si je faisais vraiment envie, avec ma carrure de microbe, puant la sueur, à moitié en sang et en guenilles… Après tout, tant mieux ! Comme ça elle pourra peut-être me prêter une fringue à lui plutôt qu’à elle pour remplacer mon short déchiré.
    
    Après avoir passé l’entrée, elle me fait pénétrer dans le salon. C’est grand, lumineux, moderne et décoré avec style, on se croirait dans un catalogue d’un magasin de déco. Elle m’installe sur le grand canapé qui trône au milieu du salon.
    
    — Reste là deux secondes, je vais chercher de quoi te soigner.
    
    Elle revient rapidement avec le nécessaire pour nettoyer et panser mes plaies.
    
    Elle commence par s’occuper de ma cuisse. Silence poli de sa part, et déglutition et transpiration pour moi. J’essaye de penser à autre chose qu’aux tétons roses qui trottent toujours dans ma tête. Le combat est rude, mais je commence à développer une technique redoutable, je l’ai nommée « ...
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