1. Science - à peine de - fiction


    Datte: 25/02/2020, Catégories: fhh, ffh, couple, cadeau, boitenuit, danser, Oral fsodo, hdanus, hgode, sf, Auteur: VincenLise, Source: Revebebe

    ... Elles effleurent la peau de déesse, détectant une rugosité délicate que l’effet « chair de poule » déclenche à leur passage. Rien en dessous de « 5 » maintenant, alors que, partant des épaules, je descends le long des flancs, épousant la rondeur des hanches, annonciatrice du galbé des fesses cambrées. Le « 6 » apparaît lorsque mes mains caressent les lobes charnus des fesses bien fermes et se rejoignent un instant à l’intérieur des cuisses, juste le temps de cibler le centre du monde avant qu’elles prennent le chemin du retour. Pause au milieu du dos pour glisser des doigts habiles entre peau et tissu afin de défaire le crochet du soutien-gorge qui, aussitôt libéré, disparaît sur les côtés, entraîné par la lourde poitrine heureuse de reprendre ses aises. Là encore, l’espace d’un instant le « 6 » se manifeste. Anne se débarrasse des dix grammes de tissu dans un mouvement qui me fait encore l’effet d’une caresse par le bas de son dos.
    
    « 2, 3 » résonnent le temps que je fasse à mon tour sauter mes vêtements, avec un « 5 » qui salue le contact retrouvé, maintenant peau contre peau, sexe dur contre fesses fermes. Ce n’est pas la mini-culotte qui gêne le contact : au contraire, le tissu s’est glissé dans la fente et ouvre un sillon où ma verge se cale.
    
    Je suis très attentif à la progression du signal à mesure que mes mains avancent maintenant pour venir envelopper chaque sein tout en évitant soigneusement le contact avec le téton. Anne, comme beaucoup de femmes, est ...
    ... hypersensible dans cette zone et le « 7 » est atteint uniquement par cette douce enveloppe de mes paumes.
    
    Je l’abandonne pour m’agenouiller derrière elle. Faire tomber le slip est un plaisir charnel et visuel. Voir le tissu s’extraire de la chatte et de la raie des fesses, entraînant avec lui les premières traces humides, est un moment divin.
    
    Je reconnais que l’expérimentateur n’est pas neutre ; au contraire, il est juge et partie, mais quel bonheur… Anne gémit uniquement à cause de ce dernier rempart qui tombe. Je me glisse sous elle, la tête maintenant appuyée contre le tissu du canapé, le visage face à son intimité, à portée de bouche, à portée de langue.
    
    C’est elle qui fléchit les genoux pour m’offrir son abricot. Elle adore cette caresse. Moi aussi d’ailleurs ! Sentir cette chair si délicate, ourlée, humide, odorante est un plaisir incomparable. Ce soir, j’ai tous les atouts en mains. Enfin, c’est une façon de parler car mes mains, pour l’instant, sont inactives. C’est ma bouche, ce sont mes lèvres, c’est ma langue qui caressent, sucent, titillent, aspirent sous les ordres que ma compagne donne sans le savoir grâce aux nombres qui m’arrivent sans discontinuer. C’est moins poétique, mais autrement plus efficace que les « gémissements », les « oui », les « oui, là », les « encore », les « c’est bon » qui guident tout homme suçant sa maîtresse. Elle n’a pas besoin de me guider comme elle le fait quelquefois avec ses mains ; non, je suis en prise directe avec ses sens, avec ...
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