Science - à peine de - fiction
Datte: 25/02/2020,
Catégories:
fhh,
ffh,
couple,
cadeau,
boitenuit,
danser,
Oral
fsodo,
hdanus,
hgode,
sf,
Auteur: VincenLise, Source: Revebebe
... son cerveau.
Les nombres s’affolent. Son souffle est court, elle n’arrive plus à respirer. Mes doigts entrent en elle, je la branle. « 8, 8, 8… », le compteur est bloqué. Un cri succède au « 9 » annonciateur de sa jouissance. Elle m’inonde. Son jus coule entre mes lèvres. Goût délicieux, récompense ultime. Je continue de la caresser, son orgasme semble ne jamais finir. Enfin, malgré mes efforts, le « 8 », puis le « 7 », puis le « 6 » sonnent la redescente sur terre.
— Viens, prends-moi… dit ma maîtresse qui n’ignore pas que j’attends cet instant.
Un coup de reins et je me redresse ; un autre, et mon sexe entre dans la grotte déjà inondée où je m’enfonce avec délice.
« 7 » prend acte de la possession, ma queue, bâton raide et vigoureux bien enchâssé, les couilles frappant à la porte. Je savoure mon bonheur. Ma verge palpite au rythme de mon cœur.
« 7, 8, 7 » sont le reflet de mes va-et-vient dans la chatte gourmande.
« 10 » ponctue une sortie maladroite et une réintroduction réparatrice.
« 10 » : mais pourquoi ce nombre ultime ?
Lentement, je ressors ma queue du conduit et la replace aussitôt. « 7, 8, 7 » ; la même musique reprend, pas de « 10 ». Un bug peut-être ?
Et si… Non, ce n’est pas possible… Pourtant…
On ne se refait pas, je suis un expérimentateur. Je dois essayer, tester, valider mon idée, aussi surprenante soit-elle…
Je retire mon dard de son cocon. Quelques millimètres plus haut, je pointe le gland.
— Non Paul, pas là ! me ...
... confirme Anne, qui m’a toujours refusé le chemin de son petit trou malgré toutes mes tentatives.
« 9, 8, 8 » contredit mon oreillette. Qui dois-je croire ?
Je m’agenouille. Écarte les fesses à pleines mains. Glisse ma bouche dans la fente de la chatte, retrouvant le goût de la cyprine et, d’une langue fouilleuse, remonte vers l’anus pour le caresser.
— Paul, non ! insiste Anne.
« 8, 9 » affirme la machine. J’insiste. Maintenant, ma langue perce la rondelle, étalant une salive abondante pendant que deux doigts jouent avec le vagin. Anne ne proteste plus. Les nombres persistent. Ma langue cède la place à mon pouce qui se vrille sans grande difficulté avec un « Non, Paul… » qui semble bien faible. Mais je n’entends plus rien. Le pouce avance, explorateur sous des cieux inconnus. Dans l’obscurité, il rencontre une forme : les doigts dans la chatte, et ils se saluent à travers la fine paroi séparatrice.
« 9, 9 » persiste l’oreillette pendant que je me redresse, preuve que le subconscient d’Anne sait et espère ce qui va venir.
Elle se cambre dans un geste d’un érotisme torride alors que ma queue se présente à la petite porte. Je n’hésite pas, certain que maintenant elle est en accord avec elle-même, et d’une poussée conquérante je l’investis.
— Ohhhh, gémit ma possédée alors que son cerveau m’envoie des « 9 » à répétition.
Je me délecte de cet instant. Je veux en profiter au maximum, et c’est lentement que j’avance en elle, écartant pour la première fois son cul ...