Science - à peine de - fiction
Datte: 25/02/2020,
Catégories:
fhh,
ffh,
couple,
cadeau,
boitenuit,
danser,
Oral
fsodo,
hdanus,
hgode,
sf,
Auteur: VincenLise, Source: Revebebe
... humains sont les plus forts, les émotions les plus violentes ? Mais pendant le sexe, bien sûr. Qui n’a pas rêvé d’être guidé alors qu’il caresse sa partenaire afin de lui apporter le plus de plaisir possible ? Qui ne s’est jamais posé la question de savoir si sa maîtresse ne simulait pas pour se débarrasser de vous un soir où elle n’a pas vraiment envie ?
Ma décision est prise. Tout est en place. D’ailleurs, notre anniversaire de première rencontre est dans quelques jours et sera un excellent prétexte…
—ooOoo—
J’invite Anne au restaurant, où nous passons une charmante soirée. Dès la porte de notre appartement refermée, je l’aide à quitter son manteau pour la retrouver si belle et élégante dans cette robe noire qui met si bien ses formes en valeur. Je me presse contre elle ; ma verge raide ne laisse aucun doute sur mes intentions. Elle se dirige vers la chambre, mais je la retiens d’un geste et lui susurre à l’oreille :
— Allons dans le salon. Changeons un peu.
— Coquin ! répond-elle, se laissant guider vers le canapé.
Mon corps la pousse doucement contre la banquette pour venir l’y appuyer. Naturellement, elle pose ses deux mains sur le dossier, se penchant en avant, jambes légèrement écartées, divine offrande à mon désir.
Anne aime faire l’amour. C’est une femme sensuelle qui connaît son pouvoir de séduction, et le bâton qu’elle sent contre ses fesses est une promesse de plaisir.
C’est fait : une caméra s’est mise au point sur son visage, un nombre ...
... est transmis par mon oreillette : « 3 ». J’espère que j’ai bien calibré la sensibilité et que la plage choisie doit permettre de couvrir toute la gamme du plaisir que j’espère lui faire atteindre. Elle démarre déjà très fort. Son excitation est manifeste et il n’est pas nécessaire d’avoir une caméra pour sentir que ses hanches cherchent la bonne position pour bien me sentir.
Mes lèvres effleurent sa nuque, remontent doucement vers l’oreille, et alors que je fais glisser la fermeture Éclair de sa robe, je dis :
— Ce soir, je vais te faire hurler de plaisir ; tu veux ?
Le « oui » qui sort dans un souffle est confirmé par un « 5 » dans mon oreillette. Déjà à mi-gamme, et nous n’avons encore rien fait !
Je glisse mes mains sous les bretelles de la robe pour les faire glisser des épaules. Toujours penchée en avant, elle libère un bras, puis l’autre, laissant le tissu soyeux tomber au sol et être chassé par une chaussure dont le talon vertigineux donne à ma compagne une démarche et une cambrure de reine.
Un concert de « 3, 4, 5 » accompagne l’exploration de mes lèvres sur la nuque, les lobes des oreilles, le galbé des épaules. C’est étonnant comme chaque partie caressée réagit, et je découvre combien la liaison cou-épaule est sensible chez Anne. Un instant, j’imagine combien la cartographie du corps de chaque femme et de chaque homme serait un remède à bien du mal-être pour les couples dont la sexualité se limite aux classiques approches.
Mes mains aussi explorent. ...