Science - à peine de - fiction
Datte: 25/02/2020,
Catégories:
fhh,
ffh,
couple,
cadeau,
boitenuit,
danser,
Oral
fsodo,
hdanus,
hgode,
sf,
Auteur: VincenLise, Source: Revebebe
... dénoncent. J’insiste.
— Tu aimes ?
Toujours pas de réponse. Alors je me baisse et, dans un mouvement très lent, glisse mes mains sous sa robe, remonte le long des cuisses, saisis les fines lanières de sa culotte et la fais descendre sur ses talons. Pendant tout le temps de cette opération, les nombres baissent, me faisant craindre un refus ; mais c’est d’elle-même qu’elle lève les pieds pour la dégager.
Je reviens me plaquer contre elle et lui présente sa culotte.
— Voilà la réponse, chérie. Toi aussi tu es excitée, tu ne peux le nier : ta culotte est trempée.
— Oh ! Paul. J’ai honte. Je ne peux pas me retenir.
— Mais il ne faut pas.
Et approchant mes lèvres de son oreille :
— On ne peut pas laisser Marc repartir comme cela, n’est-ce pas ?
Pas de réponse, mais son subconscient a déjà compris ce que cela signifiait. « 5, 5, 5 » résonnent dans l’oreillette. J’insiste.
— Tu veux bien ?
Mes mains descendent de chaque côté de son corps. Elles sont sur ses hanches. Je répète à nouveau alors que je commence à tirer sur le tissu pour le faire remonter.
— Tu veux bien ? Chérie, dis-moi que tu veux.
Marc fait un pas en arrière. Anne, enfin, répond :
— Oui.
La suite n’est que du bonheur. Lentement, je remonte le tissu de la robe pour la faire enlever par la tête et les bras que ma femme lève complaisamment. Détacher son soutien-gorge et le faire tomber ne prend que trois secondes. Elle est nue et elle a ce geste si empreint de pudeur de ...
... chercher à cacher sa poitrine et son sexe au regard de Marc.
C’est un moment fragile. Les nombres diminuent. Elle va abandonner. Sa pudeur et son éducation vont prendre le dessus.
— Chérie… dis-je en l’embrassant tendrement dans la nuque.
Elle frissonne. J’appuie mes baisers et passe mes bras autour d’elle pour saisir ses poignets et faire déplacer ses bras. Elle cède. Maintenant, elle est vraiment nue. Maintenant, elle dit vraiment oui.
Je fais un pas en arrière. Marc avance.
C’est à lui. Ses lèvres effleurent la rondeur de l’épaule, à l’endroit que je lui ai indiqué et que je sais maintenant si sensible. « 4, 4 » reviennent. Maintenant ils s’embrassent, d’abord doucement puis de plus en plus fort.
Je vais m’asseoir, spectateur après avoir été scénariste et réalisateur. Le couple s’étreint. Fini le temps de la pudibonderie. Tous deux se caressent. Marc promène ses mains sur le corps de ma femme, explore, caresse. « 6, 6 » sonnent alors qu’Anne entreprend d’enlever la chemise, de se battre avec la boucle de ceinture, de tirer sur le zip et littéralement arracher le caleçon. Elle s’agenouille pour aider les vêtements à tomber au sol et découvrir alors le sexe tendu.
« Hé, pensé-je, belle bête ! » Longue, un gland assez gros et des bourses avec la peau tendue et bien accrochées au manche. Elle hésite, me regarde. Sa position cache le visage d’Anne aux caméras et je ne n’entends qu’un « bip » de signal perdu. Je lui souris pour l’encourager mais Marc, sentant un ...