Science - à peine de - fiction
Datte: 25/02/2020,
Catégories:
fhh,
ffh,
couple,
cadeau,
boitenuit,
danser,
Oral
fsodo,
hdanus,
hgode,
sf,
Auteur: VincenLise, Source: Revebebe
... n’ai pas vu son visage. Je pensais en moi-même« La machine va me parler sur ses envies bien plus clairement. ».
Il faut à peine une minute pour que les premières acquisitions me parviennent dans l’oreillette que j’ai discrètement remise : « 2, 3 ».
Rien de bien significatif ; en tout cas, pas un signe de colère ou de bouderie qui donne des valeurs négatives.
— Et si je mettais un peu de musique ? On resterait dans l’ambiance !
Ni Marc, ni Anne ne répondent alors que je lance laplaylist que j’ai préparée.
— Allez, dansez. Je vais chercher à boire.
Marc ne se fait pas prier et entraîne Anne. Je prépare à boire dans la cuisine ; mais lorsque je reviens, le signal n’a pas changé. Je m’attendais à mieux mais je comprends pourquoi : ils dansent très sagement ; manifestement, Anne garde ses distances. Tout en posant le plateau sur la table basse, je demande :
— Vous êtes bien sages !
Ils me regardent.
— Mais oui, je sais : il y a trop de lumière. Attendez…..
J’éteins presque toutes les lampes, ne conservant que le strict nécessaire pour que les caméras captent les émotions de ma femme. Et m’installant dans un fauteuil :
— Allez, faites comme si je n’étais pas là. Faites comme tout à l’heure, dans la cave…
C’est Anne qui répond.
— Paul, voyons ! Ce n’est pas sérieux.
Marc vient à mon secours ;
— Laisse-le, Anne. Il a raison. Ce soir, il y a une alchimie particulière.
Et il l’attire à lui, pressant son corps contre le sien, ses mains ...
... abandonnant les positions sages pour l’envelopper. Une sur sa nuque, l’autre dans le creux des reins. On sent au début que ma femme est tendue ; même les nombres qui tendent vers les « 1, 2 » le montrent, mais petit à petit elle se décontracte et c’est un couple en harmonie que j’ai sous les yeux.
Marc utilise son avantage pour maintenant glisser une main des reins sur les fesses. Son approche est lente, mais Anne ne peut pas ne pas sentir le déplacement insidieux et les pressions qui doivent s’exercer sur ses lobes charnus. En tout cas, elle ne proteste pas et les nombres montent lentement : « 2, 3 » puis « 3, 3 » puis « 3, 4 ». Par moments, elle cherche mon regard et j’essaie de lui transmettre tout mon plaisir de la voir ainsi afin que rien ne la retienne.
« 4, 4 », puis « 4, 5 » puis « 5, 5 ». Elle se laisse aller dans les bras de son cavalier. Le slow n’est plus qu’un prétexte. Ils se frottent l’un à l’autre. Le spectacle est torride. Je bande. J’imagine que Marc aussi et que son sexe n’est plus retenu que par le rempart des vêtements.
Sans bruit, je me lève et viens rejoindre le couple, me glissant derrière Anne pour venir me plaquer contre elle. Elle est maintenant entre Marc et moi, chacun faisant sentir sa vigueur.
Je souffle à l’oreille de ma femme.
— Il bande ?
Elle ne répond pas mais hoche la tête.
— Tu sens mon sexe ?
Toujours le même mouvement d’assentiment.
— Tu aimes ?
Elle ne répond pas, mais je sais qu’elle aime. Les nombres la ...