1. La prédatrice (1)


    Datte: 25/02/2020, Catégories: Hétéro Auteur: Nucky, Source: Xstory

    ... tard, dit-elle, avec une expression bizarre, mi-ravie, mi-inquiète.
    
    Sa chatte engloutit ma bite, d’abord le gland, puis la hampe. Elle soupira...
    
    — Oh putain, c’est booooon... Quelle bite tu as...
    
    Ses yeux étaient fermés, sa bouche était ouverte. Elle se passa la langue sur la lèvre supérieur, puis se pencha en arrière, mettant ses mains sur le plancher du coffre pour se retenir... et elle commença le mouvement de va et vient. Elle me baisait, elle imprimait son rythme à ce sexe qui semblait tant lui plaire, le mien.
    
    Le rythme s’accéléra pour arriver à celui d’un film porno, accompagné du bruit mouillé de ma bite entrant dans sa chatte. Qu’est-ce que c’était bon... Je voulais profiter le plus possible de ce moment, mais la situation était si excitante et elle me chevauchait tellement fort que bientôt je dis :
    
    — Je ... je vais bientôt venir...
    
    Sa réaction fut fulgurante. Se poussant avec ses bras, elle se pencha sur moi et, sa main faisant une pince prenant mes deux joues, cria :
    
    — NON ! Pas avant que je prenne mon pied !
    
    Et elle continua à se glisser sur on sexe, à un rythme plus lent. Sa réaction m’avait tellement surprise que l’envie d’éjaculer était partie. Elle était toujours penchée sur moi, mais m’avait lâché. Elle avait le visage tendu par l’excitation, et ses yeux me regardaient avec une intensité folle. Je ne pouvais m’en détacher même sir manifestement elle se pelotait le sein droit.
    
    — Je vais t’entrainer... dit-elle avec un petit ...
    ... gémissement. Et tu dureras aussi longtemps que je le veux... Mmmmh... Oui, on se verra le plus souvent possible.... J’AIME TROP TA GROSSE QUEUE ! cria-t-elle de nouveau.
    
    Elle ferma les yeux et recommença à augmenter le rythme, de plus en plus rapidement.... D’abord son discours, puis cette augmentation de cadence m’avaient de nouveau amenés aux portes de la jouissance. Je tentais de me contrôler, mais je n’allais plus tenir longtemps.
    
    Heureusement, elle hurla bientôt toute sa jouissance et je lâchai de longs jets de sperme dans sa chatte.
    
    Elle se laissa tomber sur moi, puis roula à mon côté.
    
    — Tu peux pas savoir à quel point ça fait longtemps que je ne l’avais plus fait... Et ta queue est bien plus grosse que celle de mon mari... Putain, je revis...
    
    J’avais aussi énormément apprécié... L’après-midi avait dépassé toutes mes espérances. La mère de mon pote, sous des couverts un peu prudes et réservés, était en fait une vraie folle doublée d’une nymphomane. Je ne l’avais jamais entendue utiliser un tel langage, elle ne semblait plus savoir dire une phrase sans dire ’putain" ou ’queue".
    
    Nous ne dîmes plus rien durant quelques minutes, profitant de l’instant. J’observai son corps, sa poitrine, ses cuisses, ses jambes...
    
    Puis elle me dit :
    
    — Allez, rhabille-toi. Je vais te raccompagner à la gare.
    
    Elle sortit du coffre, mais je n’exécutai pas ses ordres tout de suite. Je regardai ses fesses alors qu’elle allait chercher sa robe. Coquine, elle se pencha pour la ...