1. La prédatrice (1)


    Datte: 25/02/2020, Catégories: Hétéro Auteur: Nucky, Source: Xstory

    ... suis désolé pour...
    
    — Ta gueule.
    
    Elle démarra aussitôt et je la regardais, inquiet. Elle avait l’air toujours aussi tendue et se caressais la cuisse, signe chez elle d’une grande nervosité. Je reportais mon attention sur
    
    la route. Elle négligea la route menant à la gare, et nous arrivâmes bientôt dans une forêt. Elle prit à droite dans un chemin de terre et s’y arrêta après quelques minutes.
    
    — Frank... dit-elle, d’une voix rauque.
    
    Je fis comme pour la regarder mais d’une main derrière la nuque, elle m’attira à elle. Nos visages s’approchèrent, nos bouches se touchèrent, et bientôt sa langue força son passage dans
    
    ma bouche. Ma langue se joignit à la sienne ; je n’avais jamais été embrassé comme cela, de manière si... affamée.
    
    Mais elle ne restait pas inactive. Tout en m’embrassant, elle défit sa ceinture de sécurité, et se retourna de mon côté pour s’asseoir à califourchon sur moi. Toujours plus prédatrice, elle
    
    se colla contre moi, me poussant plus contre le dossier du fauteuil.
    
    Puis elle arrêta de m’embrasser, recula sa tête et soupira :
    
    — Putain, ça va être bon...
    
    — Je ne comprends pas, dis-je, un peu rendu groggy par son baiser.
    
    Elle rit vulgairement et dit, enlevant les boutons de son chemisier :
    
    — Tu veux comprendre ou tu veux me peloter les seins ?
    
    Elle finit d’ouvrir son chemisier, enleva son soutien-gorge, me prit les mains et les déposa sur ses seins. Quel plaisir de les toucher... Je les caressai, les soulevai, les ...
    ... palpai...
    
    J’avais très envie de les sucer, et sans doute le devina-t-elle, car bientôt elle dirigeait ma tête tout près de sa poitrine.
    
    — Vas-y, suce-les. J’adoooore ça... Et en plus, qu’est-ce que tu bandes mon cochon... Tu peux pas savoir à quel point j’ai besoin de ta grosse bite.
    
    Elle me repoussa soudain.
    
    — D’ailleurs, j’ai envie de ta queue dans ma chatte tout de suite. Ouvre le coffre, couche-toi dedans et enlève ton pantalon et ton slip.
    
    Elle se souleva pour me laisser partir, et hébété, excité, j’exécutai ses ordres. Je me couchai dans le grand coffre, le pantalon et le boxer à mes pieds, mon sexe droit attendant d’être
    
    englouti dans ma cougar.
    
    Elle prit son temps, ferma tranquillement la porte côté conducteur, longea la voiture puis se mit à 5 mètres de moi, face à moi. Sa jupe glissa lentement dans le parterre de feuilles mortes
    
    à ses pieds, et sa petite culotte fut envoyée dans une flaque de boue.
    
    Elle mit ses mains sur les hanche, me laissant admirer son pubis trop poilu, et dit :
    
    — Tu as encore le temps de partir. Quand je monterai dans le coffre et que je te chevaucherai, tu seras mon jouet. Mon toy boy. Dès que j’en aurai envie, on se verra et tu me baiseras.
    
    — Oui, soufflai-je.
    
    Elle sourit, s’approcha ainsi, cul nu, monta à quattre pattes dans le spacieux coffre et prit mon sexe dur en main et commença à me masturber doucement. Elle mit un genou de chaque côté de
    
    moi, descendit lentement son bassin et souffla :
    
    — C’est trop ...