1. Marie-Odile - 2


    Datte: 23/02/2020, Catégories: fh, fplusag, vacances, occasion, bellemere, Auteur: Gigi 02, Source: Revebebe

    ... caresses se font plus osées, ses baisers plus profonds. Et enfin, on s’abandonne l’un à l’autre. Fébrilement, je dégrafe le gros bouton de son short, celui qui le tient fermé, pour plonger la main aussitôt dans les profondeurs de sa culotte, avec un index inquisiteur qui farfouille dans sa toison ; et le moins qu’on puisse dire, c’est qu’elle n‘a rien contre, la maman ! Bien au contraire, puisqu’elle fait la même chose de son côté ! Ce qu’elle veut, elle, c’est mon petit chose ! Et sans délai ! Elle baisse mon slip pour mieux le saisir, doit le trouver à son goût puisqu’elle m’entraîne aussitôt sur le lit pour mieux en profiter.
    
    On se veut, vite, tout de suite, là ! Et c’est une vraie furia qui commence ! Pas de temps à perdre, et surtout pas en préliminaires, une autre fois, peut-être ! On se débarrasse de nos fringues comme on peut, de notre seule main libre, tout en se goinfrant de nos bouches enflammées. Et sa culotte est à peine ôtée que je lui écarte les cuisses pour la pénétrer d’un bon coup de reins. Envolées, ma gêne et ma timidité de tout à l’heure ! Ah, tu veux baiser, ma garce ! Eh bien tu vas être servie ! Et elle y met du cœur à l’ouvrage, Marie-Odile ! Bien sûr, ce n’est pas une foudre de guerre, c’est même plutôt une partenaire assez passive, tout le contraire de sa fille, en fait, mais bon, elles n’ont pas le même âge non plus ! Pour autant, cela ne l’empêche pas de prendre son pied, de crier que oui, mon chéri, c’est bon ! Qu’elle en veut encore ! ...
    ... Elle me serre tellement, avec ses bras autour de mon cou et ses jambes sur mes cuisses qu’elle m’en fait mal, sans compter que je peux à peine bouger, tout juste ce qu’il faut pour la satisfaire ; et puis, d’un coup, elle relâche son étreinte pour se retirer ; et sans rien dire, se tourne, écarte les fesses de ses mains pour me présenter son anus
    
    — Prenez-le, Bertrand, il est à vous ! J’en ai envie ! Et puis dites-moi des cochonneries, vous savez que j’aime ça, hein ?
    
    Non, je ne le sais pas ! Mais cela ne fait rien, j’accède à sa demande, bien sûr, et malgré une pénétration difficile et assez douloureuse, qui ne la fait pas renoncer pour autant, elle crie fort, là aussi, son plaisir en labourant le lit, cependant que je la traite de salope et de grosse cochonne ! Et ça lui plaît ! Incroyable ! Je n’aurais jamais imaginé une chose pareille ! Et puis je vais jusqu’au bout de ses désirs en jouissant dans son cul !
    
    Nous reprenons nos esprits, serrés l’un contre l’autre, à moitié déshabillés, sur le lit qui ressemble maintenant à un champ de bataille. Elle me couvre le visage et le cou de petits baisers coquins, et cela aussi, je n’aurais jamais imaginé qu’elle puisse le faire.
    
    — Eh bien, mon grand fou, vous m’avez gâtée ! Dire que j’avais oublié que c’était si bon ! Vous ne pouvez pas savoir comme je suis heureuse ! Et pour vous, mon petit chéri, j’ai été à la hauteur ?
    
    Mon grand fou, mon petit chéri ! Décidément, j‘ai vraiment la côte !
    
    — Vous êtes une amante ...