Marie-Odile - 2
Datte: 23/02/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
vacances,
occasion,
bellemere,
Auteur: Gigi 02, Source: Revebebe
... très vite, se jeta sur la perche tendue !
— Eh bien, si tu veux, maman, je me ferai un plaisir d’y aller pour toi. C’est toujours Caroline, la pharmacienne ? Alors, nous pourrons évoquer nos souvenirs d‘enfance, depuis le temps ! Chéri, je suppose que cela ne te dérange pas de rester une petite heure avec maman ?
Il n’y a pas à dire, elle est douée pour la comédie, ma chérie !
— Pas du tout, et puis ta mère et moi avons sûrement des tas de choses à nous raconter, on se connaît si peu, en fait…
*****
Appuyé contre le chambranle de la porte d‘entrée, je regarde Stéphanie franchir le portail à bicyclette ; Marie-Odile, tout contre moi, me saisit la main ; je me tourne vers elle :
— Compliments ! C’était bien trouvé…
— Merci, mais le plus drôle, c’est que j’avais réellement oublié !
Elle se serre un peu plus, me prend l’autre main, radieuse
— Enfin seuls, Bertrand ! J’ai l’impression de vivre un rêve - elle pose sont front contre le mien - et si nous passions dans ma chambre ? Une heure, ça passe vite, vous savez…
Je ne sais pas pourquoi je me sens tout à coup intimidé, gêné, même… est-ce à cause de la différence d’âge ? Ou tout simplement parce qu’il s’agit de la maman de Stéphanie ? Toujours est-il que je dois faire un effort pour avoir l’air détendu et tenter une plaisanterie :
— Vous avez une collection d’estampes japonaises à me montrer ?
Elle rit, ce qui n’est pas souvent chez elle.
— Non, mais j’ai un grand lit ! Vous venez ?
Elle ...
... m‘entraîne dans l‘escalier en me tirant par la main. Décidément, elle en veut, la maman ! Elle est chaude ! Et tout en me laissant entraîner, je garde les yeux rivés sur son petit cul parfaitement mis en valeur par son short et qui n’attend que moi ! Je ne sais plus qui a dit « Le meilleur de l’amour, c’est quand on monte l’escalier », mais ce que je sais, c’est qu’il avait bigrement raison !
La chambre - sa chambre - baigne dans une douce pénombre, seulement éclairée par les fentes horizontales des volets clos. Elle me prend les mains :
— Ça ne vous dérange si je laisse les volets fermés, je préfère.
Cela ne me dérange pas, au contraire, puisque cela donne une ambiance des plus intimes, tout à fait adaptée à nos projets immédiats. On se regarde, sans rien se dire. Parce que si on a envie de quelque chose, ce n’est sûrement pas de parler, mais seulement d’assouvir notre passion charnelle, comme elle dit ; pas de se dire des mots d’amour qui n’auraient aucun sens ! Mes mains se posent sur elle, les siennes sur moi. Je n’ose pas aller trop vite, elle non plus. Nos lèvres se touchent, se collent, nos langues se titillent. Pour l’instant, on joue avec le désir. On le laisse venir, petit à petit. On l’attise de baisers et de caresses jusqu’à ce qu’il devienne plus en plus brûlant, insupportable ; c’est tellement bon de sentir monter l‘excitation !
Et c’est qu’elle s’y entend pour faire grimper la température, la maman, ma doué ! Stéphanie à de qui tenir ! Alors, mes ...