Marie-Odile - 2
Datte: 23/02/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
vacances,
occasion,
bellemere,
Auteur: Gigi 02, Source: Revebebe
... dans la semi-pénombre, suffit à me tenir en état d’excitation ! Surtout que, pour une partie qui commence doucement, ma compagne de jeu ne se prive pas de ses commentaires pour le moins équivoques :
— Décidément, je vous ai connu mieux inspiré, Bertrand !
Ou bien :
— Si vous voulez mon avis, vous manquez d’initiative…
Mais de l’initiative, je vais en avoir, ma belle, compte sur moi ! Et pas plus tard que tout de suite ! Et pour commencer, légère pression du genou contre le sien, elle ne le retire pas, c’est à l’évidence ce qu’elle attendait… alors continuons, je pose la main, et là, elle a un réflexe de défense très féminin : resserrement des genoux, et sa main qui vient serrer la mienne pour l’empêcher d’aller plus avant ; normal, et s’il en avait été autrement, cela m’aurait surpris, et même déçu. Je reviens un instant au jeu pour placer mon double-six, que je commente moi aussi de manière équivoque :
— Excusez-moi, Marie-Odile, mais c’est une opportunité qui ne se reproduira peut-être pas…
— Vous avez raison d’être opportuniste, mon petit Bertrand, et le succès sourit aux audacieux…
Et comme pour appuyer ses dires, je sens la pression de sa main se relâcher petit à petit, jusqu’à n’être plus qu’une caresse. Ma main glisse doucement sous sa jupe, ses genoux s’écartent progressivement… hum, j’ai comme dans l’idée que la partie de dominos va tourner court ! Je serais presque à toucher sa culotte si elle ne resserrait pas soudainement ses cuisses
— Soyez ...
... sage, Bertrand, nous ne sommes pas seuls, voyons…
Il n’y a pas grand-chose à craindre du côté de Stéphanie, bien sûr, mais, évidemment, cela je ne peux pas lui dire ! Alors, je continue sur ma lancée :
— Vous savez que vous m’excitez terriblement, Marie-Odile ! Et que j’ai très envie de vous ! Je vois déjà votre corps s’abandonner sous mes caresses, mes mains se poser sur vos seins ! Oh laissez-moi vous aimer, Marie-Odile ! Et rien que de vous imaginer en train de retirer votre petite culotte pour moi, me met en transes…
Elle va se pâmer, la maman de Stéphanie, c’est sûr ! Elle se tourne vers moi, pose son front contre le mien en soupirant :
— Mais vous êtes fou, Bertrand ! Vous savez bien que ce n’est pas possible ! Pas ici ! Pas maintenant !
Déception ! Mais bon, quand elle dit « pas maintenant », c’est déjà un accord tacite, non ? Alors encore un peu de patience…
— Tant pis, mais je ne veux pas aller contre votre volonté, Marie-Odile…
La pression de son front se fait un peu plus forte, j’ai toujours la main emprisonnée entre ses cuisses, et la partie de dominos est carrément passée aux oubliettes !
— Nous trouverons une solution pour assouvir notre passion charnelle, faites-moi confiance, mais en attendant, Bertrand, retirez votre main, restons-en là pour ce soir et allons-nous coucher, ce sera mieux…
Notre passion charnelle ! Ça, c’est de la distinction ou je ne m’y connais pas, la grande classe, quoi !
En tout cas, nous n’irons pas plus loin ...