1. Persée de nuit


    Datte: 21/02/2020, Catégories: fh, jeunes, extracon, contrainte, dispute, facial, Oral occasion, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Atlante, Source: Revebebe

    ... n’est pas la première fois que j’en vois. On fait juste un peu plus connaissance. Je souris. Quel merdeux je suis !
    
    Impossible de trouver un sommeil paisible. Je vois défiler un générique imaginaire de James 007 avec ombres féminines habillées de culottes dentelle claires. Noir et blanc, chaud et froid, fatigue et énervement. Mon pouls tape aux tempes et rythme la musique assortie.Goldeunnayceuuuu… Le cauchemar. Autant se lever et laisser passer l’orage. Problème. Le ciné a eu son petit effet. La gaule. Et je ne compte pas me présenter auprès du pote avec mon porte-étendard. La tuile ! Je regrette beaucoup de choses ce soir.
    
    Je m’assois. Le regard au niveau du cul de Manon, exposé juste à côté. Elle me tourne le dos en chien de fusil. Une lumière faible et chaleureuse pénètre par l’ouverture restreinte de la porte. Où est la crème de sa nuisette ? Le drap a glissé et la nuisette est remontée dans le creux de ses hanches «Goldeunnayce ». Merde ! Merde de merde !
    
    Un marteau frappe mes tempes. Plus de réflexion, place aux réflexes. Je pose ma main. Elle ne réagit pas. Le tissu de sa culotte laisse glisser mes doigts. Adieu le pote. Ma main se loge entre ses cuisses. Elle bouge. J’attends la claque magistrale, l’engueulade. Son bassin ondule. Somatique ? En tout cas je vole la femme du presque frère, trahissant mes valeurs, le code de l’amitié. Je suis un autre, plus vil, plus brutal, plus sauvage.
    
    Je me persuade qu’elle dort profondément. Que son rêve est ...
    ... érotique et que son corps répond à ma caresse par pur mécanisme. Je pose ma seconde main sur sa hanche, parcours ses fesses. À travers sa culotte, ses nymphes gonflées enserrent mon pouce. En le relevant, je cherche à la pénétrer du doigt préhensile. La seule chose qui me distingue encore de l’animal. Le tissu la protège. Son cul se cambre, donne des coups en arrière. Sa chorégraphie, son humidité, son arôme me commandent. Je souffre. Mon sexe douloureux réclame sa part. Comprimé dans le boxer, il est de bois et si sensible. Il explosera à la première attention. Help !
    
    Arno crie. Je me tétanise. Il n’a pas bougé. Il jubile. Il gagne. Moi, par contre, je me ressaisis.
    
    Il continue de jouer, elle de bouger.
    
    Je retire mes mains. J’ai mal au ventre, au bas-ventre et la tête me tourne. Je me laisse tomber sur le dos et je commence une branlette compensatoire discrète. Manon ne s’est pas réveillée. Je suis sauvé. Ni salaud, ni loyal.
    
    Elle se retourne. Je m’immobilise. Je perçois ses yeux dans la pénombre. Elle susurre avec une voix de petite fille :
    
    — Tu n’as pas fini ce que tu as commencé. Ma chatoune est toute mouillée.
    
    Je suis grillé et je fume par tous les pores. Brusquement je me présente à genoux et reprends ma branlette sans retenue. Ma main libre va chercher sa tête. Je la tire par les cheveux vers ma bite dure. Elle se retrouve à quatre pattes sur le lit, la tête plus bas que son cul émergeant. La nuisette a glissé sur ses épaules. J’ai envie de son cul, de la ...