Clarisse mère au foyer 2
Datte: 20/02/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Partouze / Groupe
Auteur: charime, Source: xHamster
... terriblement vexée de me voir si impassible. Elle nous rejoint, trainant ma cousine Karine derrière elle. Je m’arrêtais net quand elle me parla de faire une partie de jambes en l’air, tous les deux.
« Déjà, je ne parle pas à des femmes qui se la pètent, qui se prenne pour une autre. Secundo, une femme qui domine n’a pas à se comporter comme une pute, c’est juste qu’elle manque de caractère. Tu imites les autres, tu n’es pas toi quand tu gifle ta nièce, ma cousine. En fait, je la verrai bien de punir et te dominer. » Je pris mon temps pour voir sa réaction. Et, comme à mon habitude, j’enfonçais le clou. « Tu vois, avec elle, je n’ai pas cherché, elle ne m’a pas cherché, on s’est juste trouvé à cause de ce petit accident domestique. Par contre, pour toi, je suppose que le simple fait de l’abriter chez toi pendant qu’elle étudie fait de toi sa Maîtresse ? Mouais, à voir ta gueule de pute, j’ai vu juste. Karine, si tu te cherches une autre Maîtresse digne de ce nom, ou un Maître, ce n’est pas avec une soumise comme ta tante que tu vas trouver ton bonheur, bonne nuit et joyeux noël ! »
On est rentré se coucher. Dans mon lit, je presse le corps d’Clarisse contre moi. Elle replie ses jambes, mon pénis s’insinue entre ses cuisses, bien en profondeur.
Au matin, Clarisse aide ma mère pour le déjeuner des enfants. La petite me vit et nous cria : « Papa ! » en me montrant du doigt. Je reste interdit, ne sachant comment prendre cela. Enfin, revenu de ma surprise, je la prends ...
... dans mes bras, l’embrasse tendrement. Ma mère ne trouve rien de mieux que de pleurer, mais de joie. Je suis aussi ému qu’elle, mais pas autant que la maman de ce petit garçon adorable. Du coup, je suis allé prendre la fille de ma compagne. Je la lève, la change et l’habille en jouant avec elle, sous les regards d’Clarisse et de ma mère encore plus émue.
On reste encore pour le nouvel an, qu’on fête en famille, toute la famille. Je peux en profiter pour me moquer à pleine brouette de ma tante, la rabrouer, la rabaisser et, sans le vouloir, ni même remarquer de l’inversion des rôles. Avant de partir, je me suis rendu, avec Clarisse, dans ce petit cimetière aux croix identiques. Je me dirige vers une tombe très précise, celle d’une certaine Véronika. Je fais un trou dans la neige pour y mettre une photo de nous deux avec une bougie.
« Ma belle, tu vois, je ne t’ai pas oubliée. Je te présente Clarisse, ma future et ses deux bambins. Si tu peux, par un signe ou comme tu le voudras, dis-moi si elle te plait. Perso, si tu me vois de là-haut, tu sais que je suis fou d’elle comme de ses enfants. »
« C’est d’elle que tu rêves la nuit ? »
« Véronika est celle par qui j’ai appris mon travail et faire l’amour. Mais, je te raconterais notre vie à tous les deux. Après elle et avant toi, il y eu encore une jeune femme que j’ai formé et aimer. Et puis, j’ai quitté la vallée. La menuiserie n’arrivait plus à tourner face à une concurrence moins chère. Mouais, c’est bien vieux tout ça. ...