Clarisse mère au foyer 2
Datte: 20/02/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Partouze / Groupe
Auteur: charime, Source: xHamster
... les blasés.
Elle est vexée de me voir si distant. Il y a une vieille barrière en bois. Je pose la laisse sur l’un des piquets et m’approche de ma cousine. Sans lui laisser le temps de me cacher son corps, je lui att**** la chainette et l’attire contre moi. Mes mains sur ses épaules, je la force à s’agenouiller sur la neige dure.
« C’est qui ton Maître ? À moins que cela ne soit une Maîtresse, te connaissant. ! » Que je lui demandais avec une certaine impatience.
« C’est une Maîtresse que Monsieur connait très bien »
« De la famille ? » Demandais-je.
« Oui, Monsieur, de la famille, une tante ! »
« Quoi, Isabelle, cette sale gamine puérile ? »
Là, j’étais réellement énervé, voire en colère, mais plus contre ma cousine, contre ma garce de tante, cette vipère.
« Une bien sévère Maîtresse, Monsieur » Précisa ma cousine Karine.
« Une peau de vache pour cette petite dinde. Alors, mon neveu, on me voit comme une gamine puérile ? » Me lance ma tante, elle a mon âge à quelques mois près.
« En fait, je te voyais pire encore, comme une gosse pourrie par son père. Je te vois toujours comme celle qui nous a pourri nos vacances par ses caprices d’enfant gâtée. »
« Et cette jeune chienne, elle est à toi depuis quand ? »
« Qu’est-ce que ça peut te foutre, ça ne te regarde pas. Tu comptes me la prendre comme tu piquais les petits amis de mes cousines ? Cousine, là, tu me déçois beaucoup ! »
« Elle est magnifique et très docile. Ma pute devrait en ...
... prendre de la graine. Ça fait six mois que je la dresse. Tu sais qu’elle crèche chez moi, elle veut devenir vétérinaire en plus. »
Décidément, ma tante à bien changé. Si elle est toujours aussi hautaine, avec manière de parler de la haute. La voilà en plus vulgaire, utilisant des mots crus quand elle parle de ma cousine.
« Non seulement elle est magnifique, elle est une soumise particulièrement docile et qui sait parler sans être vulgaire comme toi. Pour la cousine, tu devrais lui apprendre à ne pas interrompre un dominant durant sa promenade sans se présenter et s’excuser. » Je devins autoritaire avec ma tante. « Il en faudrait peu pour que je vous fesse toutes les deux comme des malpropres. Surtout toi, ma tante. Tu ne sais même pas éduquer une soumise. C’est vrai que pourrie comme tu l’es par grand-père, l’oisiveté ne t’aide pas ! Et puis, pour dominer une personne, il ne faut pas seulement agiter des liasses de gros billets, c’est dans la tête et le corps que ça se passe. Mais pour ça, ma très chère tante, encore faut-il en avoir une et avec une cervelle, ce qui est très loin d’être ton cas. Pour moi, tu n’es rien de plus que ramassis de méchanceté, de jalousie. Viens ma Clarisse, nous continuons. »
Elle ne sut que répondre. Je pris la laisse de ma douce compagne et continue notre promenade en sa compagnie sans me retourner. Derrière moi, le bruit d’une paire de gifle ne me fait même pas tourner la tête. Isabelle, la jolie tantine, mais totalement idiote, doit être ...