1. Clarisse mère au foyer 2


    Datte: 20/02/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Partouze / Groupe Auteur: charime, Source: xHamster

    Chapitre 2
    
    Un jour, près de huit mois plus tard, elle vint me trouver dans mon appartement, un soir, après avoir couché ses enfants. Elle se mit à genou devant mes pieds, se penchait en avant, tel un sphinx.
    
    « Monsieur, il me plairait de vous appartenir pour toujours. »
    
    « Mais tu es à moi ! »
    
    « Oui, je le sais, je vis cette appartenance à chaque seconde qui passe et j’aime ça. C‘est que je vous aime pour tout vous dire. Seulement, il me manque quelque chose, ce petit quelque chose qui fera de moi votre pute encore plus docile. »
    
    « Et c’est quoi ? »
    
    « Des anneaux, Monsieur. Aussi, je vous demande humblement la permission de me faire annelée. »
    
    « L’idée est bonne. Où veux-tu porter des anneaux ? »
    
    « Sur mon sexe, sur le capuchon de mon clitoris. Il y a mes seins, un par tétons. Monsieur pourra ainsi me suspendre par ces anneaux. Enfin, S’il plait à Monsieur, à mon nez, sur ma cloison nasale, pour que Monsieur puisse me promener en laisse. »
    
    « Je suis d’accord, mais as-tu la moindre idée du cout ? »
    
    « Je possède quelques économies qu’il me serait facile d’utiliser pour ça, Monsieur. Et puis, je travaille le cuir de manière artisanale, cela me permet d’améliorer notre ordinaire. Mon martinet est un exemple du fruit de mon labeur. »
    
    Là, quant à ce qu’elle paie tout, je mets mon veto. Je posais mon pied sous son visage, elle me le lèche, me le suce avec une dévotion qui ferait pâlir de jalousie bien quelques soumis. Jamais femme ne me fut plus ...
    ... dévouée, plus docile qu’Clarisse. Puis, elle passe à l’autre pied. Cette fois, le corps bien droit, tenant mon pied entre ses douces mains. Je fixe son visage, m’imaginant à son nez un petit anneau. Je me vois faire nos courses, le tenant en laisse, poussant son landau et tenant son fils par la main. Sauf que, ben, dans mon quartier, ma réputation d’homme bien sous tous rapports en prendrait un sérieux coup dans la poire. Je me vois alors, la promenant la nuit, encore en laisse, sauf qu’elle était fixée à son sexe cadenassé ou à celui de son clitoris. Je n’ai qu’à fermer les yeux pour voir ces images provenant du fin fond de mon cerveau de pervers. Lentement, inexorablement, sa bouche remonte le long de mes jambes, passant d’une à l’autre. Je bande ferme. J’ai envie de ce corps et pourtant, si l’envie est très forte, je la laisse faire. Je dois me faire v******e pour ne pas la détourner de son envie et la prendre comme un chien baisant sa chienne.
    
    « Si tu devais me donner juste une partie de ton corps ? »
    
    « Sans hésiter, mon Maître, ma bouche ! Elle pourrait vous sucer dès votre réveil, vous être toujours là au moindre désir de mon Maître. Ne plus vivre que dans votre slip pour vous être qu’agréable à tout instant de votre vie, peu m’importe le pourquoi ou le comment si ce n’est que c’est pour votre seul plaisir, Monsieur mon Maître. »
    
    « Ce ne serait pas désagréable, en effet. »
    
    Alors, mon imagination devint encore plus fertile plongeant dans les vices les plus tordus ...
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