Clarisse mère au foyer 2
Datte: 20/02/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Partouze / Groupe
Auteur: charime, Source: xHamster
... les perversités les plus vaches et sales. Il me semblait déjà que je sentais cette bouche, sa langue nettoyer mon cul, mon chibre à tout instant de la journée. J’imaginais des choses peu ragoutantes et je bandais encore plus fort. Je ne tins pas plus longtemps. Je pris sa tête de mes mains et sa bouche se posa sur ma queue. Je ne fus tranquille dans ma tête qu’au moment de jouir dans sa bouche. Elle prit alors mon verre de bière, y trempa mon auriculaire, l’effet fut immédiat, dans sa bouche, je me soulageais, elle me but jusqu’à la dernière goute.
« J’ose espérer que mon Maître aime sa salope. Parce que sa salope l’aime quand il se montre sale avec elle. Sachez que le slip du Maître oublié chez moi me sert de bâillon quand je me fouette de mon martinet, le soir. »
« Alors vas le chercher, ton martinet. »
« Avec grand plaisir, Monsieur. Monsieur, dois-je prendre des bougies afin de me couvrir de cire brulante ? »
J’ai accepté. Elle revient aussi vite qu’elle est partie. Mon slip oublié dans sa bouche, elle se positionne à genou, le corps bien droit, ses bras levés vers le plafond. De son martinet, je se rougis sa poitrine, son ventre. Elle se mord ses lèvres à chaque coup. Je vois son corps onduler telle une danse érotique. Parfois, elle ferme ses yeux, comme pour mieux sentir la brulure des lanières. Je lui donne ma queue à sucer. Penchée en avant, je zèbre son dos avec son martinet. Plus je frappe, plus elle gémit, la bouche remplie de mon chibre. Puis d’une ...
... bougie allumée, je répands cette cire brulante sur son dos, ses fesses et entre ses fesses. La belle remue du croupion, cela rend la chose plus excitante encore. Surtout, cela me donne l’idée de transformer une de mes trois chambres en une petite salle de supplice.
C’était la première fois que je me montre aussi violent avec Clarisse et elle aime ça autant que mon cœur commence sérieusement à battre pour elle. Mon cœur qui m’ordonne de ne pas la quitter sous peine d’un arrêt brutal et je crois mon cœur. Je jouis encore, je la redresse, délaissant son martinet. Je l’embrasse tendrement.
« Outre les anneaux, je te veux entièrement à moi et, pour ça, y pire que tes anneaux, il y a un mariage. » Je respirais tranquillement en l’observant. Et j’enfonçais le clou. « Avec les fêtes qui arrivent. On va aller chez mes parents, avec tes enfants. Eux, on va les pourrir de cadeaux. Toi, je vais pourrir ton cul avec ma queue. J’en profiterais pour clouer le bec à ma famille en annonçant notre mariage pour l’été prochain. Tu as quelque chose à redire ? »
« Oh non, Monsieur, surtout pas, je m’en voudrais de vous contrarier, je suis à vos ordres. Il me plait déjà de ne plus appartenir à personne d’autre que vous, Maître. »
Ses mains masturbent encore ma queue. Je la couche sur le dos et m’enfonce lentement en elle, tendrement, cette fois. Oui, je ne l’ai pas baisée, je l’ai Aimée.
On a dormi ensemble, sans qu’elle ne soit entravée d’aucune manière que par mes bras. Au matin, je ...