1. Le gamin au pensionnat


    Datte: 28/03/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Inceste / Tabou Auteur: charime, Source: xHamster

    ... fesse ce cul et pas en douceur. Mon plaisir devient toujours plus vicieux désormais. J’aime fesser par plaisir, le mien. La bouche de Cunégonde se colle à la mienne afin de m’encourager à fesser davantage. Mais j’aime aussi à me venger des punitions endurées par mon corps durant ces 10 premières années passées ici. Je n’en oublie pas les humiliations vécues, mes 72 heures de cachot quand on a découvert ma corde et son nœud de pendu, je n’avais que 10 ans et je n’en pouvais plus des sévices de toutes sortes. Comme d’être à poil en classe, debout face à vingt-cinq fille, moi, le gros, le gras double, le rase moquette, le timide. Après tout, c’est là qu’un juste retour des choses.
    
    Mais là, je baise la mère sup, me fait enculer par une langue généreuse dans l’effort et une bouche est passée de la mienne à mes couilles. De ma main qui ne fesse pas, je dilate le cul de la mère supérieure, y glisse ma queue et elle pousse un long râle. Heureusement pour nous, la plupart des élèves sont chez leurs parents. Il ne reste que Martine et moi dans tout le pensionnat. De quoi baiser et jouir à qui mieux-mieux jusqu’à en crever. Sœur Gisèle veut mon étron, je le sens quand elle écrase entièrement son visage sur mon anus. Elle voudrait le lécher sur toute sa surface. Mais avant qu’elle ne me le mange, il me faut faire jouir la mère sup et cette garce sait se retenir, laisser grandir l’orgasme qui gronde déjà en elle. Alors, c’est qu’il me faut la faire souffrir que davantage. C’est sa ...
    ... poitrine qui subit mes mains hargneuses. Je la presse, lui enfonce mes ongles, étire ses mamelons, les tordant aussi. Elle glousse, commence à grimacer vilain quand cette vague de plaisir l’inonde, l’emporte dans l’extase. Je me retire, enfonce ma bite dans la bouche de cette nonne esclave de ses fantasmes. Elle me suce d’autant plus fort que ma bite est vraiment sale, immonde même. Cette femme adore ça. Il faut la voir me sucer jusqu’à mes couilles. Sur le lit, une novice prend son envol vers la félicitée, jouissant sans ne plus se retenir. La mère sup passe à Martine qu’elle encule sèchement. Si Martine crie, c’est de cette brulure, de cette douleur de sentir son cul se faire défoncer à sec. Cela ne perdure pas, très vite les gémissements deviennent plus lascifs, plus elle s’approche de l’orgasme qui grossit déjà en elle.
    
    Devant moi, on couche la nonne esclave, lui enfonce ce magnifique objet qui maintient sa bouche grande ouverte. Le tout, sous ordres de la mère sup. Comme prof de cul, dans la vie, je n’ai jamais trouvé mieux qu’elle et toute sa congrégation. Une fois mon cul au-dessus de sa bouche, on m’oblige, à coup de martinet si je n’obéis pas, à soulager mon cul sur la bouche de cette nonne. Je pousse, me soulage enfin, dos tourner au trio sur le lit. On me regarde, on m’encourage par des caresses ou des coups de martinet si on estime que je n’en fais pas assez. On me suce même. Lentement, je sens cet étron glisser hors de mon cul. Je le sens glisser sur une langue ...
«12...5678»