1. Le gamin au pensionnat


    Datte: 28/03/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Inceste / Tabou Auteur: charime, Source: xHamster

    ... Bien ma mère.
    
    - Sœur Gisèle de la Compassion est notre soubrette de service. Elle aime qu’on la bouscule. Un peu comme notre Martine, n’est-ce pas ma petite.
    
    - Oh oui, Maîtresse.
    
    - Maîtresse ?
    
    - Eh oui mon fils, quand je les baise, mes nonnes, j’aime qu’elles me nomment Maîtresse. Je deviens alors le bourreau de mes consœurs. Si tu veux, toi aussi, m’appeler ainsi, libre à toi. Il y a juste que cela me décevrait quelque peu. Oui, tu vois, je vois en toi mon aide avec ta belle bite. Je te vois comme un dominant. Du moins, avec sœur Marie-Madeleine, c’est ainsi que nous te voyons, mon fils. C’est ça, tu es comme une sorte de fils spirituel. Suce et lèche son cul petite salope. J’ose penser, mon fils qu’il n’est pas propre.
    
    - C’est que je n’ai pas encore été à selle, ma mère, que je ne me suis pas encore lavé.
    
    - Magnifique alors. Goute à ce cul, enfonce bien ta langue, ma belle petite putain.
    
    - Oh oui Maîtresse, il sent merveilleusement mauvais, il pue délicieusement et il est épouvantablement sale que j’aime ce cul.
    
    - Alors délecte-toi, petite grue. Cette petite pute, je l’ais surprise quand elle n’était qu’une élève, elle volait des victuailles dans nos réserves
    
    - A-t-elle été punie à la hauteur de ce vol infame ?
    
    - Oh que oui, à commencer par dix jours de cachot, nue et enchainée. Ensuite, nous l’avons faite passer notre haie d’honneur. Cela consiste en deux rangées de mes nonnes, et chacune tient une cravache dans sa main. On fixe la condamnée ...
    ... sur une chariot, bien debout, le corps entièrement exposé. Le chariot avance très lentement et nous l’abreuvons de nos coups les plus sévères. Elle y passe deux fois avant qu’on ne la couche, qu’on la baise à n’en plus finir. Eh bien elle, non seulement elle a joui durant la haie d’honneur, ce qui n’était jamais arrivé, mais elle nous a presque toutes crevées quand on la baisait. Depuis, c’est notre esclave. Du reste, je ne sais si tu as vu son sexe, mais il porte un cilice remplit de petites pointes qui passe sur son sexe et entour sa taille de guêpe. Faut reconnaitre qu’elle est bien foutue, cette garce. Lèche plus en profondeur. Je veux que tu sentes cet étron.
    
    - Je le sens, Maîtresse, il est gros et dur. Pourrais-je le
    
    - Tu pourras si tu fais bien ce que nous t’ordonnons.
    
    - Oh merci, très estimée Maîtresse. Soyez bénie entre toutes les femmes.
    
    Penché en avant, je subis cette langue experte à n’en pas douter. Sur mon sexe, sans le lui avoir commandé, la novice me démontre ses talents de suceuse de queue. La mère supérieure s’affaire sur nos amies couchées, enlacées. Je soulève sa robe pour lui rendre la politesse, dévorer son sillon sale juste ce qu’il faut, dans son entier. Puis, c’est avec mon sexe tendu et bien lubrifié par la novice Cunégonde que je pénètre son côté féminin pendant que le masculin s’enfonce dans la future Marie-Gabrielle de Saint-Eutrope. L’étroitesse de son vagin est un enchantement, une gâterie qu’on déguste tout en douceur. Pourtant, je ...
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