1. Le gamin au pensionnat


    Datte: 28/03/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Inceste / Tabou Auteur: charime, Source: xHamster

    ... encore, laisse-moi te dévoiler mon second sexe.
    
    En moins de temps qu’il faut pour le dire, son vagin est rempli de mon sexe. Étroit au possible, je me délecte de ce corps tout entier. L’ado baise une quadra et ça lui plait énormément. En même temps, j’ai l’impression de la branler, sa bite entre nos ventres. Dans ce pensionnat, on nous apprend à ne jamais juger. Mais là, je juge que ce corps mérite toute mon attention, mais s’il veut m’enculer encore, je suis partant. Quand sa bouche se pose sur la mienne, c’est pour m’entendre dire que je suis bon en amour. Là, si elle me juge bon, je sais déjà que je manque encore cruellement d’expérience, d’endurance. À moins que je sois un bon débutant ? Mais bon, je fais l’amour, pour le reste, on verra plus tard. Une mère supérieure me fait l’amour et me le fait bien. Je suis sur mon nuage avec ces femmes. Je vais jouir dans une religieuse, la mère supérieure de ce pensionnat, de cette congrégation. Je ne sais pas qui elles prient, mais pas le bon-dieu, c’est certain. Enfin, là, elle jouit et moi avec, enlacé dans ses bras, nos bouches soudées. Mon extase va bien au-delà de tout.
    
    Cette fois, c’est mort, je suis incapable de jouir une fois de plus. Je viens même d’éjaculer un peu de sang, ce qui me fait un peu paniquer. Mais les mains de ces nonnes, de Martine, me rassurent. On nous dépose sur un large chariot, de ceux qui servent à transporter les blessés, Martine et moi. On nous conduit directement dans une vaste chambre meublée ...
    ... d’un très vaste lit. On nous couche, on nous borde et on nous menotte au lit. Je ne sais pourquoi, mais je n’ai pas l’envie de protester, j’ai juste envie de subir. Je me sens même terriblement en confiance. Sur nos bouches, deux sexes se posent, Martine et moi devenons les esclaves de ces nonnes totalement converties au sexe. Du reste, elles nous l’avouent en s’agitant sur nos bouches. Quand ma bite semble reprendre vigueur, c’est une nouvelle nonne qui arrive, la novice du pensionnat du haut de ses frêles 18 printemps, légèrement gironde mais, d’une beauté à faire bander un eunuque. Toute de blanc vêtu, elle se dévêt devant nous sur l’ordre impérieux de sa mère supérieure. Nue, sa bouche sur mon sexe, on l’oblige à me sucer. Si elle est légèrement maladroite, mes coups de reins la mettent sur le droit chemin de la fellation parfaite.
    
    - Mieux que ça, petite effrontée ! Il était notre souffre-douleur, il ne l’est plus désormais. Il nous a prouvé qu’il n’était pas un excité de la quéquette mais un jeune homme qui aime nous faire jouir. Alors, on a décidé que nous allions le pourrir de nos corps, ce beau jeune homme. C’est même lui qui va faire de toi une nonne, ma fille. Tu vois, mon fils, normalement, c’est moi qui les déflore. Mais toi et moi, on va se partager le travail. Si on peut dire que c’est un travail.
    
    - Ma mère, que voilà une bien douce punition pour le pêcheur que je suis. Si l’enfer est votre lieu saint, je suis prêt à vous rejoindre.
    
    - Oui, assurément la ...
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