Merci, Maître - Histoires de Sexe

Merci, Maître

... vibrant, des nattes de corde et le martinet en cuir que lui a achetés Karl. Je ramasse le martinet et place ma cravache entre les dents de Sylvie, lui dégrafe son soutien-gorge. Je fais tournoyer le martinet en l’air. Le bruit des lanières fouettant l’air retient son attention. Et sans prévenir, je fouette avec légèreté son dos des lanières de cuir. On se laisserait à penser qu’elle se délecte de la piqûre des lanières sur sa peau. Elle arc-boute au maximum ses bras le long de ses flancs comme pour mieux m’offrir son dos. La surprise passée, c’est une succession d’une dizaine de coups qui coule à nouveau sur son dos et ses épaules. Elle contrôle le plaisir de cette douce chaleur qui la parcourt. Elle bave, de par la cravache en travers de la bouche. Les coups suivants sont légèrement plus appuyés, de telle sorte que tout son dos est en alerte. Tout en faisant tournoyer les lanières de cuir du martinet en l’air, je me déplace face à elle. Je fouette légèrement sa poitrine pour faire réagir ses pointes de seins. Elle corrige sa position comme par réflexe. Elle cherche à me prouver qu’elle veut être digne d’être ma soumise. Je lui place le martinet sous le menton l’invitant à le maintenir serré contre sa gorge. Je la débarrasse de son soutien-gorge en le faisant glisser le long de ses bras. Ses seins, lourds mais fermes, s’animent fièrement par le désir de poursuivre cette flagellation. Ses pointes de seins sont tendues d’excitation. Je les saisis entre le pouce et l’index ...

... de chaque main et les pince en douceur. J’accentue la pression de mes doigts, la relâche légèrement puis reprend de plus belle en les tournant vers l’extérieur. Sylvie ne peut que m’accompagner dans ce mouvement tant la douleur est vive à présent. Elle en perd le martinet qui tombe au sol.

— Ramassez ce que vous venez de perdre, lui dis-je en lui retirant la cravache de sa bouche, et immédiatement elle se penche pour se saisir avec les dents du martinet tombé à mes pieds.
— Allez le déposer sur la tablette.

Se déplaçant à genoux, elle se dirige vers la tablette où trônent son vibro et les cordes.

— Vous me rapporterez votre gode.

Sans hésiter, elle arrondit ses lèvres autour du sexe de latex et le maintient en bouche pour me le rapporter, toujours à genoux et les mains jointes dans le dos.

— Parfait. Vous garderez votre gode en bouche. Je ne tolèrerai pas qu’il vous échappe.

Je lui saisis à nouveau les pointes de seins et les pince cruellement cette fois-ci. La douleur est intense. Sylvie veut hurler mais le son est étouffé par l’objet qui lui encombre la bouche. Je continue à maltraiter ses seins, les lui griffe, les écrase à pleine main, retire sur ces tétons comme pour la soulever de terre. Sachant que ses cris sont bâillonnés, elle exprime sans retenue toute sa douleur. Je la soulage en lui retirant le gode de la bouche. Il en est tout baveux.

— Vous fais-je souffrir ?
— Oui Maître ! Autant j’ai aimé lorsque vous me fouettiez délicatement avec le ...