1. Merci, Maître


    Datte: 19/02/2020, Catégories: fh, hotel, fsoumise, hdomine, Oral fgode, préservati, fsodo, uro, sm, fouetfesse, init, fsoumisah, Auteur: Maître Moby, Source: Revebebe

    ... martinet. Mais je suis très sensible des seins et mes tétons me font souffrir.
    — La douleur vous est-elle insupportable ? Je vous prie de me dire la vérité.
    — Je dirais, peut-être que, bien que la douleur me soit insupportable elle est pour l’instant délectable. Et je vous prie de bien vouloir continuer, Maître. Je vous supplie de me maltraiter sans retenue.
    — Certes, mais le but n’est pas de vous martyriser mais seulement d’éveiller votre sens tactile à son paroxysme. Vous vous redresserez sur vos genoux et baisserez votre culotte que je puisse fouetter vos fesses.
    — Bien, Maître.
    — Veuillez à présent placer vos mains sur votre tête, les coudes bien écartés.
    — Oui, Maître.
    
    Je replace ma cravache en travers de la bouche de ma soumise et me saisis à nouveau du martinet. Je reprends la danse des lanières de cuir à la fois sur son dos et sur sa poitrine, et accentue les coups sur ses fesses. Après dix minutes de ce traitement, Sylvie en a le corps tout en alerte. Chaque coup de fouet lui chauffe les sangs au plus haut point. Ses yeux s’embrument. Je sais que je ne dois plus appuyer les coups mais entretenir cette cuisante morsure qui lui enrobe tout le corps. Elle ne peut s’empêcher maintenant de se tordre légèrement à chaque fois que les lanières de cuir cinglent la peau fine de ses seins ou de ses fesses. Si je lui laisse quelques secondes de répit, elle en profite pour corriger sa position.
    
    Mon sentiment concernant Sylvie, c’est qu’elle sera certainement la ...
    ... plus parfaite de mes soumises. Je suis fière d’elle. D’ailleurs elle en est consciente et cherche à me prouver à chaque instant sa dignité d’être non seulement ma Soumise mais surtout ma favorite. Celle qui pourra à l’avenir m’accompagner aux réceptions privées.
    
    Les dix minutes suivantes sont une alternance de coups sans discontinuer sur son dos, ses épaules, ses seins, voire même son ventre. Son buste est en feu. Des larmes lui coulent des yeux et elle laisse à présent échapper de petites plaintes de douleur. Je repose définitivement le martinet.
    
    — Levez-vous et présentez-vous face au miroir.
    
    Sans mot dire, elle s’exécute. Les mains toujours derrière la tête, les coudes bien écartés, elle prend conscience de toutes les griffures que lui ont infligées les lanières de cuir dans l’image que lui renvoie la glace. Après avoir mis son épiderme en alerte, je veux la séance suivante sensuelle et emplie de douceur.
    
    Me plaçant derrière elle, je lui prodigue une séance de caresses des plus apaisantes. Mes mains parcourent l’ensemble de son dos pour lui apporter une infinie douceur tactile. Elle ne peut s’empêcher d’onduler tant elle apprécie le traitement que je lui prodigue. Sa respiration devient plus forte lorsque mes caresses s’attardent sur ses seins. Ils sont trempés de sa salive, qui s’écoule de part et d’autre de la cravache toujours enserrée entre ses dents. Je les devine meurtris. Aussi, c’est avec une infinie délicatesse que je dessine le contour de ses pointes ...
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